En 2018, l’Agence France Locale a couvert 5,1% des crédits long terme des collectivités locales françaises, soit une part de marché qui a presque doublé par rapport à 2017 (2,7%) selon une étude du cabinet de conseil Finance Active parue en ce mois d’avril 2019. "Une progression importante qui traduit la dynamique d’adhésion et de crédits constatée à l’AFL sur l’année 2018" confirme Yves Millardet, Président du Directoire de l’AFL.
L’AFL, la banque des collectivités, s’affiche ainsi comme l’un des principaux "financements alternatifs" (catégorie de l’étude regroupant les banques spécialisées dans le financement de l’investissement public) identifiés par le cabinet aux côtés de la BEI (6%) et devant la Caisse des Dépôts (4,4%) et l’AFD (1%) ; les banques universelles demeurant le premier prêteur du marché.
L’étude relève par ailleurs que "la part de l’AFL dans l’encours de dette des collectivités passe de 0,8 % en 2017 à 1,1 % fin 2018" franchissant un nouveau cap important, à la fin de sa quatrième d’année d’activité effective.
À noter que l’AFL est citée comme étant le premier prêteur des collectivités de plus de 100 000 habitants de Pays de la Loire (Communes, EPCI, départements, Région) après le recours au marché obligataire. "Une belle preuve de confiance de la part de la Région et la Métropole de Nantes, membres historiques de l’AFL et de l’ensemble de nos actionnaires sur le territoire" affirme Yves Millardet.
Les 3 autres enseignements de l’étude sur la dette des collectivités locales françaises :
- 1,10% : c’est le taux d’emprunt des collectivités locales françaises pour les crédits long terme, un taux historiquement bas.
- La durée de vie de la dette des collectivités diminue pour la première fois depuis 2015 à 14,1 années.
- En 2018, ce sont les Régions qui ont eu le plus recours à l’emprunt (130,7 M€ en moyenne) devant les EPCI de plus de 100 000 habitants (31,9 M€ en moyenne) et les départements (26,5 M€ en moyenne)
AFL - Communiqué complet- 2019-04-18
L’AFL, la banque des collectivités, s’affiche ainsi comme l’un des principaux "financements alternatifs" (catégorie de l’étude regroupant les banques spécialisées dans le financement de l’investissement public) identifiés par le cabinet aux côtés de la BEI (6%) et devant la Caisse des Dépôts (4,4%) et l’AFD (1%) ; les banques universelles demeurant le premier prêteur du marché.
L’étude relève par ailleurs que "la part de l’AFL dans l’encours de dette des collectivités passe de 0,8 % en 2017 à 1,1 % fin 2018" franchissant un nouveau cap important, à la fin de sa quatrième d’année d’activité effective.
À noter que l’AFL est citée comme étant le premier prêteur des collectivités de plus de 100 000 habitants de Pays de la Loire (Communes, EPCI, départements, Région) après le recours au marché obligataire. "Une belle preuve de confiance de la part de la Région et la Métropole de Nantes, membres historiques de l’AFL et de l’ensemble de nos actionnaires sur le territoire" affirme Yves Millardet.
Les 3 autres enseignements de l’étude sur la dette des collectivités locales françaises :
- 1,10% : c’est le taux d’emprunt des collectivités locales françaises pour les crédits long terme, un taux historiquement bas.
- La durée de vie de la dette des collectivités diminue pour la première fois depuis 2015 à 14,1 années.
- En 2018, ce sont les Régions qui ont eu le plus recours à l’emprunt (130,7 M€ en moyenne) devant les EPCI de plus de 100 000 habitants (31,9 M€ en moyenne) et les départements (26,5 M€ en moyenne)
AFL - Communiqué complet- 2019-04-18
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