En quelques années, la communication des communautés s’est affranchie de celle des communes. Le dernier Baromètre de la communication intercommunale confirme cette tendance qui se traduit autant par le renforcement des services que par l’élargissement des champs d’action de la communication intercommunale.
C’est une petite révolution dans la communication publique. Le nombre des intercommunalités a chuté de moitié en quelques années et parallèlement leur communication s’est renforcée.
Sans grande surprise, la fusion des intercommunalités s’est traduite par la création de services communication dans les nouvelles communautés XXL. Aujourd’hui, une équipe communication est en place dans pratiquement toutes les communautés d’agglomérations. Et dans les communautés de communes, les trois quarts d’entre elles ont une fonction communication identifiée.
Ces responsables ou ces services communication ont consolidé leur place dans les nouvelles collectivités. Il y a encore quatre ans, la communication était largement prise en charge par un élu ou par un directeur qui assurait d’autres fonctions. Aujourd’hui, la communication est assurée par son responsable, rattaché très majoritairement au DGS.
Au sommaire
- Un acteur visible du territoire
- Il appartient aussi aux candidats aux municipales de porter l’intercommunalité
- À l’assaut des élus non communautaires
Le Baromètre de la communication intercommunale est une enquête effectuée auprès de ceux qui ont en charge la communication au sein des intercommunalités. Le Baromètre est conduit par l’Association des communautés de France, l’agence Epiceum, l’institut d’études Occurrence et le réseau Cap’Com.
La 5e vague de ce Baromètre a été réalisée par un mailing envoyé aux 1 259 communautés françaises, pour un total de 219 questionnaires exploités, soit un taux de retour de 17,4 %. L’étude a été réalisée entre le 7 juillet et le 30 août 2019. Les quatre éditions précédentes du Baromètre ont été menées en 2008, 2011, 2013 et 2015.
Cap’Com - Dossier complet - 2019-10-04
C’est une petite révolution dans la communication publique. Le nombre des intercommunalités a chuté de moitié en quelques années et parallèlement leur communication s’est renforcée.
Sans grande surprise, la fusion des intercommunalités s’est traduite par la création de services communication dans les nouvelles communautés XXL. Aujourd’hui, une équipe communication est en place dans pratiquement toutes les communautés d’agglomérations. Et dans les communautés de communes, les trois quarts d’entre elles ont une fonction communication identifiée.
Ces responsables ou ces services communication ont consolidé leur place dans les nouvelles collectivités. Il y a encore quatre ans, la communication était largement prise en charge par un élu ou par un directeur qui assurait d’autres fonctions. Aujourd’hui, la communication est assurée par son responsable, rattaché très majoritairement au DGS.
Au sommaire
- Un acteur visible du territoire
- Il appartient aussi aux candidats aux municipales de porter l’intercommunalité
- À l’assaut des élus non communautaires
Le Baromètre de la communication intercommunale est une enquête effectuée auprès de ceux qui ont en charge la communication au sein des intercommunalités. Le Baromètre est conduit par l’Association des communautés de France, l’agence Epiceum, l’institut d’études Occurrence et le réseau Cap’Com.
La 5e vague de ce Baromètre a été réalisée par un mailing envoyé aux 1 259 communautés françaises, pour un total de 219 questionnaires exploités, soit un taux de retour de 17,4 %. L’étude a été réalisée entre le 7 juillet et le 30 août 2019. Les quatre éditions précédentes du Baromètre ont été menées en 2008, 2011, 2013 et 2015.
Cap’Com - Dossier complet - 2019-10-04
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