
La notion de "communs" traduit un intérêt croissant de la société civile pour produire, gérer et partager des ressources matérielles et immatérielles de façon collaborative et ouverte. Comment ces nouvelles façons de faire en commun s’inscrivent-elles dans les territoires et contribuent-elles à les redéfinir ? Sont-elles susceptibles de renouveler la production de la ville et d’accéder au rang d’un nouveau "droit de cité" ?
La notion de "communs" connaît un regain d’intérêt, en même temps que se développent dans la société civile de nouvelles initiatives visant à produire, gérer et partager des "ressources" matérielles (eau, semences, machines, espaces, etc.) et immatérielles (logiciels, codes génétiques, données numériques, etc.), mais aussi à répondre aux aspirations de collectifs souvent issus de l’économie collaborative, du numérique et de l’écologie : jardins partagés, habitat participatif, cartographies libres, tiers-lieux, fablabs, monnaies locales, communautés de défense du patrimoine, mobilités ou énergie partagées, sciences et contenus éducatifs ouverts, échanges de savoirs, de savoir-faire ou de services, etc.
À la faveur de ces initiatives issues de la société civile, le sujet des communs se diffuse désormais dans les médias et auprès du grand public, un peu comme un parfum dans l’air du temps, intuitivement identifiable ou reconnaissable sans pour autant se laisser facilement définir.
Métropolitiques - Dossier complet - 2019-06-13
La notion de "communs" connaît un regain d’intérêt, en même temps que se développent dans la société civile de nouvelles initiatives visant à produire, gérer et partager des "ressources" matérielles (eau, semences, machines, espaces, etc.) et immatérielles (logiciels, codes génétiques, données numériques, etc.), mais aussi à répondre aux aspirations de collectifs souvent issus de l’économie collaborative, du numérique et de l’écologie : jardins partagés, habitat participatif, cartographies libres, tiers-lieux, fablabs, monnaies locales, communautés de défense du patrimoine, mobilités ou énergie partagées, sciences et contenus éducatifs ouverts, échanges de savoirs, de savoir-faire ou de services, etc.
À la faveur de ces initiatives issues de la société civile, le sujet des communs se diffuse désormais dans les médias et auprès du grand public, un peu comme un parfum dans l’air du temps, intuitivement identifiable ou reconnaissable sans pour autant se laisser facilement définir.
Métropolitiques - Dossier complet - 2019-06-13
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