Depuis un certain nombre d’années, et en particulier depuis la grande réforme de 2008 (transposée en droit français en 2010), la France et l’Union européenne veulent faire basculer notre société dans une économie circulaire. En vertu de ce principe de circularité, tout déchet doit avoir vocation à être réinséré dans un cycle économique, afin de limiter au maximum le prélèvement des matières premières.
Le premier article de la règlementation relative aux déchets pose ainsi le principe : "La politique nationale de prévention et de gestion des déchets est un levier essentiel de la transition vers une économie circulaire."
Au sommaire
- les déchets sont un outil essentiel du changement de paradigme de notre économie et la réglementation déchets est en pointe, voire la seule à promouvoir ce changement de modèle économique.
- A aucun moment la réglementation n’affirme que nous devons tendre vers une société "zéro déchet".
- L’Homme donc est la seule espèce à produire des déchets dont personne ne veut ; elle est aussi la seule espèce capable d’innover pour convertir du rebus en ressource.
- Le progrès (et donc l’innovation) rend donc possible aujourd’hui (et plus encore demain) ce que nous pensions impossible hier.
- On en arrive alors à la nécessaire harmonisation entre la volonté du législateur, la capacité de l’opérateur économique et la traduction des administrations en charges des déchets.
Institut Sapiens / Sylvain Pelletreau - Analyse complète - 2020-08-24
Le premier article de la règlementation relative aux déchets pose ainsi le principe : "La politique nationale de prévention et de gestion des déchets est un levier essentiel de la transition vers une économie circulaire."
Au sommaire
- les déchets sont un outil essentiel du changement de paradigme de notre économie et la réglementation déchets est en pointe, voire la seule à promouvoir ce changement de modèle économique.
- A aucun moment la réglementation n’affirme que nous devons tendre vers une société "zéro déchet".
- L’Homme donc est la seule espèce à produire des déchets dont personne ne veut ; elle est aussi la seule espèce capable d’innover pour convertir du rebus en ressource.
- Le progrès (et donc l’innovation) rend donc possible aujourd’hui (et plus encore demain) ce que nous pensions impossible hier.
- On en arrive alors à la nécessaire harmonisation entre la volonté du législateur, la capacité de l’opérateur économique et la traduction des administrations en charges des déchets.
Institut Sapiens / Sylvain Pelletreau - Analyse complète - 2020-08-24