Communiqué - Revue de presse parlementaire >> Près d’un mois avant l’arrivée du projet de loi pour une école de la confiance au Sénat, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, était auditionné au Sénat. Tout comme le corps enseignant et les organisations syndicales, les sénateurs redoutent que le texte mette à mal l’école publique.
"Certaines dispositions du projet de loi pour une école de la confiance génèrent des réactions passionnées", remarque d’emblée Catherine Morin-Desailly, présidente de la commission de la culture au Sénat. Et pour cause, les "stylos rouges" ne cessent de faire part de leur mécontentement face à un texte dont ils redoutent qu’il mette à mal l’école publique.
Ce mouvement des enseignants en colère, lancé fin 2018, redoute plusieurs mesures, à commencer par le rapprochement des écoles et des collèges, ou encore l’instruction obligatoire à partir de 3 ans. Certains crient à la disparition de la profession de directeur école, d’autres s’inquiètent de l’avenir des écoles maternelles ou encore de l’impact du projet de loi sur le budget des communes.
Public Sénat/Alice Bardo - 2019-04-09
"Certaines dispositions du projet de loi pour une école de la confiance génèrent des réactions passionnées", remarque d’emblée Catherine Morin-Desailly, présidente de la commission de la culture au Sénat. Et pour cause, les "stylos rouges" ne cessent de faire part de leur mécontentement face à un texte dont ils redoutent qu’il mette à mal l’école publique.
Ce mouvement des enseignants en colère, lancé fin 2018, redoute plusieurs mesures, à commencer par le rapprochement des écoles et des collèges, ou encore l’instruction obligatoire à partir de 3 ans. Certains crient à la disparition de la profession de directeur école, d’autres s’inquiètent de l’avenir des écoles maternelles ou encore de l’impact du projet de loi sur le budget des communes.
Public Sénat/Alice Bardo - 2019-04-09