Le plan biodiversité présenté le 4 juillet 2018 a annoncé des actions structurantes pour limiter la consommation d’espaces naturels agricoles et forestiers, lutter contre l’étalement urbain et participer à la mise en œuvre de l'objectif "zéro artificialisation nette".
L’étalement urbain et l’artificialisation des sols, en détruisant et en morcelant les espaces naturels, agricoles et forestiers, contribuent directement à la dégradation des écosystèmes et à l’érosion de la biodiversité. Ces phénomènes érodent le potentiel de production agricole de la France et, à terme, menacent notre autonomie alimentaire. En outre, ils réduisent les possibilités de lutte contre le changement climatique en diminuant le stockage de carbone dans les sols. Ce modèle de développement peut aussi impliquer une dégradation du cadre de vie par un éloignement des emplois et des services publics ainsi qu’un faible accès aux transports en commun. Il implique des coûts de déplacements en voiture individuelle importants.
Lors de ce premier groupe de travail, le portail national de l’artificialisation des sols, ouvert au début du mois de juillet pour mettre à la disposition de tous des données de mesure du phénomène sur l’ensemble du territoire, a été présenté.
La réunion a également permis de partager les recommandations des missions confiées au Comité pour l’Economie Verte (CEV), au Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) et à France Stratégie pour éclairer les enjeux.
Ces trois organismes ont présenté leurs travaux, certains en forme de rapports d’étapes, pour introduire les débats. Ils ont permis de dégager les axes de travail pour aboutir à la fin de l’année 2019 sur des propositions au gouvernement complémentaires des actions déjà̀ engagées.
Ministère de l'Agriculture - Communiqué - 2019-07-26
L’étalement urbain et l’artificialisation des sols, en détruisant et en morcelant les espaces naturels, agricoles et forestiers, contribuent directement à la dégradation des écosystèmes et à l’érosion de la biodiversité. Ces phénomènes érodent le potentiel de production agricole de la France et, à terme, menacent notre autonomie alimentaire. En outre, ils réduisent les possibilités de lutte contre le changement climatique en diminuant le stockage de carbone dans les sols. Ce modèle de développement peut aussi impliquer une dégradation du cadre de vie par un éloignement des emplois et des services publics ainsi qu’un faible accès aux transports en commun. Il implique des coûts de déplacements en voiture individuelle importants.
Lors de ce premier groupe de travail, le portail national de l’artificialisation des sols, ouvert au début du mois de juillet pour mettre à la disposition de tous des données de mesure du phénomène sur l’ensemble du territoire, a été présenté.
La réunion a également permis de partager les recommandations des missions confiées au Comité pour l’Economie Verte (CEV), au Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) et à France Stratégie pour éclairer les enjeux.
Ces trois organismes ont présenté leurs travaux, certains en forme de rapports d’étapes, pour introduire les débats. Ils ont permis de dégager les axes de travail pour aboutir à la fin de l’année 2019 sur des propositions au gouvernement complémentaires des actions déjà̀ engagées.
Ministère de l'Agriculture - Communiqué - 2019-07-26
Dans la même rubrique
-
Doc - Rapport d'activité 2024 du BRGM : une année d'efforts et de réussites
-
Actu - Gaz à effet de serre, pollution, évolutions techniques … Quatre questions sur l'impact environnemental de la climatisation
-
Actu - Préserver et reconstruire les territoires de montagne face au réchauffement climatique
-
Circ. - Alerte canicule : fortes chaleurs, risques d’incendies et mesures d’urgence activées
-
Actu - Environnement - Comment décarboner au moindre coût ?