
La Dares a réalisé, en concertation avec la direction générale des entreprises (DGE), une enquête flash auprès des organismes de services à la personne (OSP), afin de recueillir des informations relatives à l’impact du premier confinement sur ces activités.
Il en ressort qu’entre le 15 mars et le 15 mai 2020, un tiers des OSP déclare avoir dû cesser d’intervenir. Les structures les plus petites et les moins diversifiées sont celles qui ont connu le plus de difficultés dans l’exercice de leurs activités. La garde et l’accompagnement d’enfants, ainsi que les travaux ménagers, sont les activités de services à la personne qui ont le plus souffert du confinement. En revanche, les livraisons de courses et de repas se sont le plus souvent accrues.
Les mesures de soutien aux entreprises sont bien connues, qu’elles aient été mobilisées ou non. En pratique, plus de 60 % des associations et des entreprises ont placé des intervenants en activité partielle. 7 structures sur 10 ont maintenu leur effectif stable, y compris en ayant recours à ce dispositif. Pour les organismes qui ont poursuivi leur activité, des dispositions ont dû être prises, en particulier pour équiper les intervenants de protections individuelles (80 % des cas).
Au sommaire
- 4 organismes sur 5 en arrêt ou en baisse d’activité durant le premier confinement
- Davantage de cessations d’activité pour les petites structures
- Des baisses d’activité plus modérées pour les associations et les organismes publics
- Une activité limitée par le refus des bénéficiaires des interventions à leur domicile
- Des activités de services d’assistance et d’accompagnement davantage préservées
- Une plus faible diversification des activités pour les organismes ayant cessé d’intervenir pendant le premier confinement
- Une bonne connaissance de la part des entreprises des dispositifs mis en place suite à la crise
- Un recours à l’activité partielle dans plus de 60 % des structures pouvant le mobiliser
- Un maintien des effectifs dans 7 structures sur 10
- Des équipements de protection individuelle mis à disposition dans une très grande majorité des cas
- Deux organismes sur cinq rencontraient des difficultés de trésorerie
- Entre juin et août 2020, une anticipation de stabilité des effectifs dans trois quarts des cas
DARES - Synthèse complète
Données
Il en ressort qu’entre le 15 mars et le 15 mai 2020, un tiers des OSP déclare avoir dû cesser d’intervenir. Les structures les plus petites et les moins diversifiées sont celles qui ont connu le plus de difficultés dans l’exercice de leurs activités. La garde et l’accompagnement d’enfants, ainsi que les travaux ménagers, sont les activités de services à la personne qui ont le plus souffert du confinement. En revanche, les livraisons de courses et de repas se sont le plus souvent accrues.
Les mesures de soutien aux entreprises sont bien connues, qu’elles aient été mobilisées ou non. En pratique, plus de 60 % des associations et des entreprises ont placé des intervenants en activité partielle. 7 structures sur 10 ont maintenu leur effectif stable, y compris en ayant recours à ce dispositif. Pour les organismes qui ont poursuivi leur activité, des dispositions ont dû être prises, en particulier pour équiper les intervenants de protections individuelles (80 % des cas).
Au sommaire
- 4 organismes sur 5 en arrêt ou en baisse d’activité durant le premier confinement
- Davantage de cessations d’activité pour les petites structures
- Des baisses d’activité plus modérées pour les associations et les organismes publics
- Une activité limitée par le refus des bénéficiaires des interventions à leur domicile
- Des activités de services d’assistance et d’accompagnement davantage préservées
- Une plus faible diversification des activités pour les organismes ayant cessé d’intervenir pendant le premier confinement
- Une bonne connaissance de la part des entreprises des dispositifs mis en place suite à la crise
- Un recours à l’activité partielle dans plus de 60 % des structures pouvant le mobiliser
- Un maintien des effectifs dans 7 structures sur 10
- Des équipements de protection individuelle mis à disposition dans une très grande majorité des cas
- Deux organismes sur cinq rencontraient des difficultés de trésorerie
- Entre juin et août 2020, une anticipation de stabilité des effectifs dans trois quarts des cas
DARES - Synthèse complète
Données
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