Ce texte, défendu par la sénatrice LR Pascale Gruny, souhaite étendre les restrictions déjà mises en place ces dernières années par les pouvoirs publics à d’autres champs d’applications, y compris dans la sphère privée. Pour le rapporteur de cette proposition de loi, l’écriture inclusive n’est pas compatible avec la « neutralité » d’opinion attendue dans certains contextes.
L’écriture inclusive dans le collimateur des sénateur.trice.s. La commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat a adopté ce mercredi 25 octobre, malgré l’opposition d’une partie des élus de gauche, notamment des écologistes, une proposition de loi visant à proscrire cette manière d’écrire le français, présentée par ses partisans comme un moyen de faire progresser l’égalité femme-homme .
Déposée en janvier dernier par la sénatrice LR de l’Aisne Pascale Gruny, cette proposition de loi entend bannir l’usage de l’écriture inclusive dans toute une série de documents pour lesquels la loi, ainsi modifiée, rendrait spécifique l’usage du français. En clair, certains documents administratifs seraient considérés comme irrecevables ou caducs dès lors qu’il y serait fait usage de l’écriture inclusive.
Au sommaire de l’article
Plusieurs jalons juridiques
L’interdiction des pronoms « iel », « al » ou « ul »
Une écriture sans règles fixes
« Un marqueur politique et idéologique »
Public Sénat >> Article complet
L’écriture inclusive dans le collimateur des sénateur.trice.s. La commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat a adopté ce mercredi 25 octobre, malgré l’opposition d’une partie des élus de gauche, notamment des écologistes, une proposition de loi visant à proscrire cette manière d’écrire le français, présentée par ses partisans comme un moyen de faire progresser l’égalité femme-homme .
Déposée en janvier dernier par la sénatrice LR de l’Aisne Pascale Gruny, cette proposition de loi entend bannir l’usage de l’écriture inclusive dans toute une série de documents pour lesquels la loi, ainsi modifiée, rendrait spécifique l’usage du français. En clair, certains documents administratifs seraient considérés comme irrecevables ou caducs dès lors qu’il y serait fait usage de l’écriture inclusive.
Au sommaire de l’article
Plusieurs jalons juridiques
L’interdiction des pronoms « iel », « al » ou « ul »
Une écriture sans règles fixes
« Un marqueur politique et idéologique »
Public Sénat >> Article complet