Un décret réformant l’assurance chômage devait être pris le 1er juillet prochain. Objectif de ce texte : durcir les règles d’indemnisation en satisfaisant un principe, travailler plus pour avoir droit au chômage. Jusque-là, l’exécutif avait toujours assumé ce cap, Gabriel Attal annonçant un décret d’ici le 1er juillet pour une réforme entrant en vigueur au mois de décembre.
Mais ce dimanche, à l’issue des résultats du 1er tour des Législatives, le Premier ministre a préféré suspendre la réforme controversée, dénoncée aussi bien par le Rassemblement national que par l’union de la gauche.
Et ce lundi, invité du journal de TF1, Gabriel Attal a assumé la suspension de la réforme du système d’assurance-chômage. La publication du décret aurait été perçue comme « une forme de passage en force », a-t-il affirmé.
Au sommaire
- Une réforme qui durcissait les règles d’indemnisation
- Une suspension jusqu’au 31 juillet
- Une suspension pour tendre la main à la gauche ?
- Un clin d’œil à gauche qui déplaît ailleurs
Public Sénat - Article complet
Mais ce dimanche, à l’issue des résultats du 1er tour des Législatives, le Premier ministre a préféré suspendre la réforme controversée, dénoncée aussi bien par le Rassemblement national que par l’union de la gauche.
Et ce lundi, invité du journal de TF1, Gabriel Attal a assumé la suspension de la réforme du système d’assurance-chômage. La publication du décret aurait été perçue comme « une forme de passage en force », a-t-il affirmé.
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- Une réforme qui durcissait les règles d’indemnisation
- Une suspension jusqu’au 31 juillet
- Une suspension pour tendre la main à la gauche ?
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