Alors que la qualité de l’air représente un enjeu majeur de santé publique, le nouvel indice ATMO est entré en vigueur le 1er janvier 2021. Ce nouvel indice, plus représentatif de l’état de la qualité de l’air, répond aux attentes des citoyens avec une indication plus fine géographiquement de l’exposition de la population à la pollution de l’air.
L’évolution de l’indice repose sur plusieurs nouveautés :
- il intègre un nouveau polluant réglementé : les particules fines PM2,5, aux effets sanitaires avérés. Ses seuils sont alignés sur ceux choisis par l’Agence européenne pour l’environnement;
- il permet de fournir une prévision calculée à l’échelle de chaque établissement public de coopération intercommunale (EPCI), sur l’ensemble du territoire national, y compris outre-mer.
- l’échelle évolue aussi : le niveau Très bon disparaît, et le niveau Extrêmement mauvais fait son apparition.Le nouvel indice qualifie donc l’état de l’air selon 6 classes : Bon / Moyen / Dégradé / Mauvais / Très mauvais / Extrêmement mauvais ;
- le code couleur s’étend désormais du bleu (bon) au magenta (extrêmement mauvais).
Ce nouvel indice donne une représentation différente de la qualité de l’air, ainsi la prise en compte des particules fines PM2,5 et les changements de seuils permettent de mieux décrire la qualité de l’air.
Il s’agit d’une représentation simplifiée de la qualité de l’air. Il se fonde sur des prévisions journalières et comporte une marge d’incertitude, à l’image des bulletins météorologiques.
Retrouvez le nouvel indice atmo en 10 points
L’entrée en vigueur de cet indice s’inscrit dans la série d’actions structurantes engagées par le Gouvernement pour améliorer la qualité de l’air sur l’ensemble de notre territoire. :
- la création de nouvelles Zones à faible émission
- de nouvelles mesures en faveur des mobilités propres (bonus écologique, prime à la conversion, soutien au déploiement des infrastructures de recharge pour les carburants alternatifs) ;
- L’ensemble des politiques nationales de soutien aux mobilités actives (plan vélo, plan de déploiement du covoiturage) ;
- Les actions impulsées localement par les collectivités locales et soutenues par l’Etat, dans le cadre des feuilles de route adoptées en 2018 dans les zones en dépassement avec un soutien dans le cadre du nouveau fonds air-mobilité mis en place par l’ADEME.
MTES >> Communiqué complet
L’évolution de l’indice repose sur plusieurs nouveautés :
- il intègre un nouveau polluant réglementé : les particules fines PM2,5, aux effets sanitaires avérés. Ses seuils sont alignés sur ceux choisis par l’Agence européenne pour l’environnement;
- il permet de fournir une prévision calculée à l’échelle de chaque établissement public de coopération intercommunale (EPCI), sur l’ensemble du territoire national, y compris outre-mer.
- l’échelle évolue aussi : le niveau Très bon disparaît, et le niveau Extrêmement mauvais fait son apparition.Le nouvel indice qualifie donc l’état de l’air selon 6 classes : Bon / Moyen / Dégradé / Mauvais / Très mauvais / Extrêmement mauvais ;
- le code couleur s’étend désormais du bleu (bon) au magenta (extrêmement mauvais).
Ce nouvel indice donne une représentation différente de la qualité de l’air, ainsi la prise en compte des particules fines PM2,5 et les changements de seuils permettent de mieux décrire la qualité de l’air.
Il s’agit d’une représentation simplifiée de la qualité de l’air. Il se fonde sur des prévisions journalières et comporte une marge d’incertitude, à l’image des bulletins météorologiques.
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L’entrée en vigueur de cet indice s’inscrit dans la série d’actions structurantes engagées par le Gouvernement pour améliorer la qualité de l’air sur l’ensemble de notre territoire. :
- la création de nouvelles Zones à faible émission
- de nouvelles mesures en faveur des mobilités propres (bonus écologique, prime à la conversion, soutien au déploiement des infrastructures de recharge pour les carburants alternatifs) ;
- L’ensemble des politiques nationales de soutien aux mobilités actives (plan vélo, plan de déploiement du covoiturage) ;
- Les actions impulsées localement par les collectivités locales et soutenues par l’Etat, dans le cadre des feuilles de route adoptées en 2018 dans les zones en dépassement avec un soutien dans le cadre du nouveau fonds air-mobilité mis en place par l’ADEME.
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