Faire des pauses plus longues sur l’heure du déjeuner pour pallier ses insomnies chroniques, rester en télétravail lors de règles douloureuses, pouvoir se maintenir en poste suite à un traitement contre le cancer : et si le travail prenait en compte les dimensions biologiques des individus, qui, pour la plupart, en France, y consacrent au moins 35 heures par semaine ? Ces enjeux pourraient jouer un rôle considérable pour les salariés ainsi que leurs encadrants.
Ces derniers sont d’ailleurs au cœur du rapport « Re-considérer le travail » , remis le 18 avril au ministre du Travail et font écho avec les propositions récentes de certains députés, comme le congé menstruel , actuellement en cours d’expérimentation dans une commune en Isère (38) .
Au sommaire :
- Quel pacte de la vie au travail ?
- S’intéresser aux conditions biologiques
- La condition chronique
- Les différences neurodéveloppementales
- « Être du matin ou du soir » ?
- Remettre en cause la norme du « salarié idéal »
- Des aménagements personnalisés
- Penser un management soutenable aussi pour la santé des managers
- Repenser le travail à l’échelle collective
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Ces derniers sont d’ailleurs au cœur du rapport « Re-considérer le travail » , remis le 18 avril au ministre du Travail et font écho avec les propositions récentes de certains députés, comme le congé menstruel , actuellement en cours d’expérimentation dans une commune en Isère (38) .
Au sommaire :
- Quel pacte de la vie au travail ?
- S’intéresser aux conditions biologiques
- La condition chronique
- Les différences neurodéveloppementales
- « Être du matin ou du soir » ?
- Remettre en cause la norme du « salarié idéal »
- Des aménagements personnalisés
- Penser un management soutenable aussi pour la santé des managers
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