Dans un entretien au Parisien, le 6 janvier dernier, Bruno Retailleau a fait part de son souhait d’ « étendre le champ de la laïcité à d’autres espaces publics ». Dans son viseur : interdire le port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires. Mais cette mesure ne peut être prise telle quelle et réouvre le débat sur le statut de ces accompagnatrices et les droits et obligations qui en découlent.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a préconisé, lors d’une interview au Parisien, le 6 janvier dernier, une extension de la neutralité à d’autres espaces publics, comme aux compétitions sportives, à l’université, mais aussi aux sorties scolaires, déclarant alors que les « accompagnatrices n’ont pas à être voilées ».
Cette proposition serait-elle réalisable ? Pas si sûr. Mais encore faut-il revenir sur le statut de ces accompagnatrices.
Au sommaire
Un angle mort des textes
Les parents accompagnateurs, des collaborateurs du service public ?
Une interdiction qui ne pourrait pas concerner que le voile
Une différence de vulnérabilité à l’université
Les Surligneurs
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a préconisé, lors d’une interview au Parisien, le 6 janvier dernier, une extension de la neutralité à d’autres espaces publics, comme aux compétitions sportives, à l’université, mais aussi aux sorties scolaires, déclarant alors que les « accompagnatrices n’ont pas à être voilées ».
Cette proposition serait-elle réalisable ? Pas si sûr. Mais encore faut-il revenir sur le statut de ces accompagnatrices.
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Les parents accompagnateurs, des collaborateurs du service public ?
Une interdiction qui ne pourrait pas concerner que le voile
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