Les Français ont-ils conscience que l’endométriose est une maladie inflammatoire chronique qui affecte 1 femme sur 10 en âge de procréer ? Qui sait que c’est l’une des principales causes d’infertilité en France ? Qui prend en compte le fait que les symptômes de l’endométriose sont nombreux et varient d’une personne à une autre, ce qui rend complexe son diagnostic ?
Comme l’explique le ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités qui a présenté cette campagne gouvernementale , le délai diagnostique de l’endométriose est de sept ans en moyenne en raison de la faible spécificité des symptômes, du tabou autour des règles et de la banalisation des douleurs.
Trois cibles et donc plusieurs types de communication sont construits pour le grand public, pour les personnes souffrant d’endométriose et pour les professionnels de santé.
Pour les premiers, sous l’accroche « L’endométriose, parlez-en », une explication de la maladie et comment se renseigner et s’orienter. Pour les personnes atteintes sous l’accroche « Comment mieux vivre avec l’endométriose », un descriptif des symptômes, une explication des traitements pour savoir « comment vivre avec ». Pour les professionnels de santé, une invitation au diagnostic et à l’accompagnement des patientes. À cela s’ajoute une déclinaison spécifique pour les médecins du travail.
Résultat, une campagne multisupport et multicible qui touche ses publics. Un affichage digital du quotidien et dans les lieux de santé (pharmacies et parapharmacies, centres commerciaux, commerces de proximité…) est ainsi mené. Des actions ciblées en digital et un partenariat média sont développés vers les professionnels de santé. Des relations presse et une communication sur les réseaux sociaux complètent le dispositif.
Source - Cap’Com
Comme l’explique le ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités qui a présenté cette campagne gouvernementale , le délai diagnostique de l’endométriose est de sept ans en moyenne en raison de la faible spécificité des symptômes, du tabou autour des règles et de la banalisation des douleurs.
Trois cibles et donc plusieurs types de communication sont construits pour le grand public, pour les personnes souffrant d’endométriose et pour les professionnels de santé.
Pour les premiers, sous l’accroche « L’endométriose, parlez-en », une explication de la maladie et comment se renseigner et s’orienter. Pour les personnes atteintes sous l’accroche « Comment mieux vivre avec l’endométriose », un descriptif des symptômes, une explication des traitements pour savoir « comment vivre avec ». Pour les professionnels de santé, une invitation au diagnostic et à l’accompagnement des patientes. À cela s’ajoute une déclinaison spécifique pour les médecins du travail.
Résultat, une campagne multisupport et multicible qui touche ses publics. Un affichage digital du quotidien et dans les lieux de santé (pharmacies et parapharmacies, centres commerciaux, commerces de proximité…) est ainsi mené. Des actions ciblées en digital et un partenariat média sont développés vers les professionnels de santé. Des relations presse et une communication sur les réseaux sociaux complètent le dispositif.
Source - Cap’Com