En avril 2024, pour défendre le projet d’une énième « réforme de la fonction publique », le premier ministre Gabriel Attal et le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques Stanislas Guerini se plaçaient dans les pas de Maurice Thorez.
Un mois plus tard, l’annonce présidentielle d’une dissolution de l’Assemblée nationale, préparée depuis « plusieurs semaines », a conduit au gel de ces velléités réformatrices. Il convient toutefois d’y revenir dans le contexte inattendu des élections législatives anticipées car, quels qu’en soient les résultats, ils ne seront certainement pas neutres pour la fonction publique.
Au sommaire
- Maurice Thorez, inspiration gouvernementale ?
- Licencier plus facilement les fonctionnaires ?
- Le contexte d’une refondation
- À quoi et à qui servent les fonctionnaires ?
The Conversation - Article complet
Un mois plus tard, l’annonce présidentielle d’une dissolution de l’Assemblée nationale, préparée depuis « plusieurs semaines », a conduit au gel de ces velléités réformatrices. Il convient toutefois d’y revenir dans le contexte inattendu des élections législatives anticipées car, quels qu’en soient les résultats, ils ne seront certainement pas neutres pour la fonction publique.
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- Maurice Thorez, inspiration gouvernementale ?
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