Le protocole d’accord du gouvernement sur la prévention des risques psychosociaux dans la Fonction publique a été signé le 22 octobre 2013 par les partenaires sociaux. La prévention des risques psychosociaux est depuis lors une priorité de la gestion des ressources humaines dans le secteur public.
Plusieurs phases structurantes doivent permettre d’engager un regard plus global sur ces types de risque.
En amont, il est primordial de bien préparer la démarche. D’abord en élaborant un plan de communication précis pour accompagner les actions tout au long de la démarche et ainsi susciter l’adhésion des agents, mais aussi en définissant une méthodologie sur mesure pour répondre aux besoins de la structure.
La méthodologie, pour qu’elle soit efficace, doit reposer sur la valorisation de l’existant. Cela nécessite une étude documentaire qui sera complétée par des entretiens avec les acteurs clés de la structure. (…)
Les outils du diagnostic
Parmi ces outils, il est conseillé de réaliser une enquête anonyme auprès des agents sur la qualité de vie au travail. Vous pouvez, pour la construire, vous appuyer sur la typologie de Gollac et les thèmes qui ont émergé lors de l’état des lieux de l’existant. L’utilisation d’échelles validées pour la construction du questionnaire est également fortement conseillée afin de pouvoir évaluer les niveaux de risques et comparer les résultats avec une population de référence. (…)
À l’issue, un plan d’actions
L’analyse de l’ensemble des résultats va permettre de définir des préconisations. Celles-ci trouveront d’autant plus d’échos auprès des agents si elles sont issues d’un diagnostic proche du terrain.
Idéalement, le plan d’actions doit également être co-construit avec les cadres de proximité et les agents, de façon à favoriser l’adhésion du plus grand nombre, mais aussi les doter d’une feuille de route très opérationnelle pour leur service (…)
De nombreux bénéfices peuvent être attendus de la mise en œuvre d’une démarche de prévention des risques psycho-sociaux :
- mieux connaître l’état d’esprit des agents ;
- créer du lien social et renforcer le dialogue social au sein de la structure. Car, bien entendu, il est indispensable que les partenaires sociaux soient associés à cette démarche ;
- une meilleure reconnaissance de leur travail pour les agents ;
- pour la structure, le gain attendu est également financier. Prévenir les risques psychosociaux, c’est le moyen de limiter et réduire l’absentéisme dont on sait qu’il peut être générateur de coûts importants pour la structure.
SOFAXIS - 2016-02-25
Plusieurs phases structurantes doivent permettre d’engager un regard plus global sur ces types de risque.
En amont, il est primordial de bien préparer la démarche. D’abord en élaborant un plan de communication précis pour accompagner les actions tout au long de la démarche et ainsi susciter l’adhésion des agents, mais aussi en définissant une méthodologie sur mesure pour répondre aux besoins de la structure.
La méthodologie, pour qu’elle soit efficace, doit reposer sur la valorisation de l’existant. Cela nécessite une étude documentaire qui sera complétée par des entretiens avec les acteurs clés de la structure. (…)
Les outils du diagnostic
Parmi ces outils, il est conseillé de réaliser une enquête anonyme auprès des agents sur la qualité de vie au travail. Vous pouvez, pour la construire, vous appuyer sur la typologie de Gollac et les thèmes qui ont émergé lors de l’état des lieux de l’existant. L’utilisation d’échelles validées pour la construction du questionnaire est également fortement conseillée afin de pouvoir évaluer les niveaux de risques et comparer les résultats avec une population de référence. (…)
À l’issue, un plan d’actions
L’analyse de l’ensemble des résultats va permettre de définir des préconisations. Celles-ci trouveront d’autant plus d’échos auprès des agents si elles sont issues d’un diagnostic proche du terrain.
Idéalement, le plan d’actions doit également être co-construit avec les cadres de proximité et les agents, de façon à favoriser l’adhésion du plus grand nombre, mais aussi les doter d’une feuille de route très opérationnelle pour leur service (…)
De nombreux bénéfices peuvent être attendus de la mise en œuvre d’une démarche de prévention des risques psycho-sociaux :
- mieux connaître l’état d’esprit des agents ;
- créer du lien social et renforcer le dialogue social au sein de la structure. Car, bien entendu, il est indispensable que les partenaires sociaux soient associés à cette démarche ;
- une meilleure reconnaissance de leur travail pour les agents ;
- pour la structure, le gain attendu est également financier. Prévenir les risques psychosociaux, c’est le moyen de limiter et réduire l’absentéisme dont on sait qu’il peut être générateur de coûts importants pour la structure.
SOFAXIS - 2016-02-25