Si les entreprises communiquent sur l’importance de leur rôle sociétal, sur la « raison d’être » de leur activité, le « quiet quitting » et les démissions sèches se poursuivent, explique la journaliste du « Monde » Anne Rodier dans sa chronique.
Quelques chercheurs ont été réunis, le 7 mars, par l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), afin de débattre de la meilleure façon de réenchanter l’entreprise.
Des « entretiens de sens »
Deux de ces trois critères analysés par les chercheurs de l’Anact (les conditions de travail et l’évolution professionnelle) sont régulièrement suivis, avec plus ou moins de sérieux, dans le cadre des entretiens professionnels entre les salariés et les manageurs, qui se tiennent une fois par an, tout au long de l’année, ou tous les deux ans, selon les entreprises. La notion de sens au travail, qui n’était jusqu’alors qu’un questionnement personnel, est en passe de les y rejoindre.
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Quelques chercheurs ont été réunis, le 7 mars, par l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), afin de débattre de la meilleure façon de réenchanter l’entreprise.
Des « entretiens de sens »
Deux de ces trois critères analysés par les chercheurs de l’Anact (les conditions de travail et l’évolution professionnelle) sont régulièrement suivis, avec plus ou moins de sérieux, dans le cadre des entretiens professionnels entre les salariés et les manageurs, qui se tiennent une fois par an, tout au long de l’année, ou tous les deux ans, selon les entreprises. La notion de sens au travail, qui n’était jusqu’alors qu’un questionnement personnel, est en passe de les y rejoindre.
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