Environ un cinquième des missions de service civique sont rompues de manière anticipée. Ces ruptures répondent à des logiques variées : 36 % des ruptures sont liées au projet professionnel du volontaire (une embauche ou une reprise d’études) tandis que 24 % ont lieu à cause d’un abandon ou d’une faute au cours de la mission.
La diversité des profils des volontaires se reflète dans ces situations : les demandeurs d’emploi rompent plus souvent leur mission à la suite d’une embauche, les volontaires les moins diplômés sont plus souvent concernés par des ruptures liées à des difficultés en cours de mission, alors que les étudiants, plus rarement concernés, mettent plus souvent fin à leur engagement pour se recentrer sur leurs études.
Sommaire
- Plus d’une mission sur cinq fait l’objet d’une fin anticipée
- Les ruptures interviennent en moyenne au bout de quatre mois
- Les demandeurs d’emploi rompent plus souvent pour prendre un poste salarié
- Les jeunes les plus éloignés de l’emploi abandonnent plus souvent leur mission
Source - INJEP
La diversité des profils des volontaires se reflète dans ces situations : les demandeurs d’emploi rompent plus souvent leur mission à la suite d’une embauche, les volontaires les moins diplômés sont plus souvent concernés par des ruptures liées à des difficultés en cours de mission, alors que les étudiants, plus rarement concernés, mettent plus souvent fin à leur engagement pour se recentrer sur leurs études.
Sommaire
- Plus d’une mission sur cinq fait l’objet d’une fin anticipée
- Les ruptures interviennent en moyenne au bout de quatre mois
- Les demandeurs d’emploi rompent plus souvent pour prendre un poste salarié
- Les jeunes les plus éloignés de l’emploi abandonnent plus souvent leur mission
Source - INJEP