Depuis l’émergence de ChatGPT et des IA génératives en général, l’intelligence artificielle (IA) est au cœur des débats, oscillant entre promesses révolutionnaires et inquiétudes quant à ses impacts. Le flou du débat public est aggravé par un manque de données fiables sur les effets réels de l’IA, notamment en matière de productivité et d’environnement.
L’urgence est de détechniciser et de politiser le sujet, en intégrant des réflexions sociales et environnementales au-delà des seules considérations économiques et juridiques.
L’impact écologique des systèmes d’IA est d’ailleurs de plus en plus mesuré. Pour structurer un cadre éthique efficace, il est proposé de fonder l’éthique de l’IA sur trois piliers : intégrité, dignité et durabilité, permettant de questionner chaque développement technologique.
Une approche concrète et simplifiée, résumée dans la règle « APR » (Améliorer l’intégrité, faire Prévaloir la dignité humaine, Rendre durables les systèmes), doit guider les réflexions et réglementations futures. Il est également urgent de financer des recherches indépendantes, de promouvoir une culture du questionnement éthique et de faire émerger un consensus global sur l’IA, notamment lors du Sommet de Paris de février 2025.
Note - 40 Éléments pour une éthique de l'IA simplifiée
Source - Observatoire de l'Éthique Publique
L’urgence est de détechniciser et de politiser le sujet, en intégrant des réflexions sociales et environnementales au-delà des seules considérations économiques et juridiques.
L’impact écologique des systèmes d’IA est d’ailleurs de plus en plus mesuré. Pour structurer un cadre éthique efficace, il est proposé de fonder l’éthique de l’IA sur trois piliers : intégrité, dignité et durabilité, permettant de questionner chaque développement technologique.
Une approche concrète et simplifiée, résumée dans la règle « APR » (Améliorer l’intégrité, faire Prévaloir la dignité humaine, Rendre durables les systèmes), doit guider les réflexions et réglementations futures. Il est également urgent de financer des recherches indépendantes, de promouvoir une culture du questionnement éthique et de faire émerger un consensus global sur l’IA, notamment lors du Sommet de Paris de février 2025.
Note - 40 Éléments pour une éthique de l'IA simplifiée
Source - Observatoire de l'Éthique Publique