La formule de la semaine en 4 jours sans réduction du temps de travail attire la moitié des actifs, offrant une promesse d'amélioration de l'équilibre vie personnelle/vie professionnelle. L'intérêt pour ce modèle est comparable parmi toutes les catégories de population, sans différences significatives en fonction des catégories professionnelles, de la situation familiale ou de l'âge.
Entreprises et attractivité
Du côté des entreprises, la semaine en 4 jours est perçue comme un levier d'attractivité, notamment dans un contexte de difficultés de recrutement. Seulement 9 % des actifs estiment que leur employeur a entamé une réflexion sur cette organisation. Les entreprises qui expérimentent ce modèle observent généralement une baisse du turn over, de l'absentéisme et des accidents du travail.
Complexité organisationnelle
La mise en place de la semaine en 4 jours présente des défis, notamment en termes de gestion des plannings. Les jours libérés s'ajoutent au télétravail et aux congés, augmentant la charge mentale et le stress des managers. Les entreprises ont parfois recours à des outils spécifiques pour faciliter cette gestion.
Inégalités de genre et inclusion
Le modèle soulève des enjeux d'équité et pourrait renforcer les inégalités de genre. Les femmes, notamment dans les couples bi-actifs, pourraient être plus impactées par la répartition des tâches parentales. Les foyers monoparentaux et les personnes en situation de handicap rencontrent également des difficultés spécifiques, rendant la soutenabilité du rythme de travail plus complexe.
Modèle du temps convenu
Certaines entreprises adoptent un modèle de "temps convenu", adaptant de manière flexible les horaires et le temps de travail des salariés en fonction de leurs contraintes personnelles. Ce mode de fonctionnement est particulièrement adapté à des catégories d'actifs comme les familles monoparentales, les parents de jeunes enfants, les étudiants, les salariés seniors, et ceux en situation de handicap ou de maladie chronique.
Crédoc N°Sou 2023-4924
Entreprises et attractivité
Du côté des entreprises, la semaine en 4 jours est perçue comme un levier d'attractivité, notamment dans un contexte de difficultés de recrutement. Seulement 9 % des actifs estiment que leur employeur a entamé une réflexion sur cette organisation. Les entreprises qui expérimentent ce modèle observent généralement une baisse du turn over, de l'absentéisme et des accidents du travail.
Complexité organisationnelle
La mise en place de la semaine en 4 jours présente des défis, notamment en termes de gestion des plannings. Les jours libérés s'ajoutent au télétravail et aux congés, augmentant la charge mentale et le stress des managers. Les entreprises ont parfois recours à des outils spécifiques pour faciliter cette gestion.
Inégalités de genre et inclusion
Le modèle soulève des enjeux d'équité et pourrait renforcer les inégalités de genre. Les femmes, notamment dans les couples bi-actifs, pourraient être plus impactées par la répartition des tâches parentales. Les foyers monoparentaux et les personnes en situation de handicap rencontrent également des difficultés spécifiques, rendant la soutenabilité du rythme de travail plus complexe.
Modèle du temps convenu
Certaines entreprises adoptent un modèle de "temps convenu", adaptant de manière flexible les horaires et le temps de travail des salariés en fonction de leurs contraintes personnelles. Ce mode de fonctionnement est particulièrement adapté à des catégories d'actifs comme les familles monoparentales, les parents de jeunes enfants, les étudiants, les salariés seniors, et ceux en situation de handicap ou de maladie chronique.
Crédoc N°Sou 2023-4924