Le premier renvoie à des tâches réalisées par plaisir, qui permettent de redonner du sens à un travail qui tend à en perdre dans l’enceinte de l’entreprise. S’il alourdit la charge de travail, il permet donc, aussi et paradoxalement, de tenir et de se maintenir en bonne santé.
Le deuxième correspond à des phénomènes de surinvestissement, qui épuisent et peuvent mettre en péril la santé des salariés. Le troisième émane, quant à lui, des difficultés d’articulation travail-famille. Il concerne principalement des chercheuses qui, passées à temps partiel sans que leur charge de travail ait diminué, tentent, tant bien que mal, de mener de front leurs activités professionnelles, domestiques et parentales.
DARES - Revue Travail et Emploi n°147 - 2017-05-05
Le deuxième correspond à des phénomènes de surinvestissement, qui épuisent et peuvent mettre en péril la santé des salariés. Le troisième émane, quant à lui, des difficultés d’articulation travail-famille. Il concerne principalement des chercheuses qui, passées à temps partiel sans que leur charge de travail ait diminué, tentent, tant bien que mal, de mener de front leurs activités professionnelles, domestiques et parentales.
DARES - Revue Travail et Emploi n°147 - 2017-05-05