Les usagers captifs sont souvent décrits comme des individus qui ne possèdent pas leur propre véhicule pour se déplacer. Selon une approche plus large que la possession d’un véhicule, les usagers captifs sont ceux qui ne se déplacent qu’en transports en commun parce qu’ils n’ont pas d’autres choix, et qui ne peuvent pas se déplacer lorsque ce mode de transport est indisponible.
Bien que la notion de captivité ou de dépendance soit parfois critiquée, elle reste importante et utile pour améliorer l’expérience des usagers des transports en commun. En effet, en raison de leur situation (ne pas pouvoir choisir un mode de transport plus sûr), les usagers captifs sont potentiellement plus exposés aux risques (réels ou perçus) pendant leurs trajets.
D'après ces enquêtes, par rapport aux usagers qui utilisent volontairement les transports en commun, les usagers captifs sont relativement plus nombreux (17 %) à se sentir rarement en sécurité dans ce contexte.
Les usagers captifs se trouvent dans une situation problématique : ils se sentent moins en sécurité dans les transports en commun, notamment les femmes, les personnes âgées de 40 à 59 ans, ou encore celles ayant un faible niveau de vie ; mais ils peuvent difficilement changer leurs habitudes de transport, n'ayant pas d'alternatives pour se déplacer.
ONDRP - Analyse complète - 2019-02-28
Bien que la notion de captivité ou de dépendance soit parfois critiquée, elle reste importante et utile pour améliorer l’expérience des usagers des transports en commun. En effet, en raison de leur situation (ne pas pouvoir choisir un mode de transport plus sûr), les usagers captifs sont potentiellement plus exposés aux risques (réels ou perçus) pendant leurs trajets.
D'après ces enquêtes, par rapport aux usagers qui utilisent volontairement les transports en commun, les usagers captifs sont relativement plus nombreux (17 %) à se sentir rarement en sécurité dans ce contexte.
Les usagers captifs se trouvent dans une situation problématique : ils se sentent moins en sécurité dans les transports en commun, notamment les femmes, les personnes âgées de 40 à 59 ans, ou encore celles ayant un faible niveau de vie ; mais ils peuvent difficilement changer leurs habitudes de transport, n'ayant pas d'alternatives pour se déplacer.
ONDRP - Analyse complète - 2019-02-28
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