
Deux grands objectifs ont guidé l’élaboration de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté et prévoyant un engagement financier inédit de l’État de 8,5 milliards d’euros en faveur des plus démunis et une refonte des politiques sociales:
- prévenir la pauvreté dès le plus jeune âge
- faire du retour à l’emploi une priorité.
Depuis un an, la stratégie pauvreté a concerné, dans leur quotidien, plusieurs centaines de milliers de nos concitoyens, et cet impact ira croissant jusqu’en 2022. Grâce à la mise en place des petits déjeuners dans les écoles, à l’instauration du bonus mixité sociale dans les crèches et à l’adoption de l’obligation de formation jusqu’à 18 ans, l’apprentissage des enfants les plus pauvres est renforcé. Avec le déploiement de la Garantie d’activité et le soutien accru au secteur de l’insertion par l’activité économique, ce sont les demandeurs d’emploi les plus éloignés du marché du travail qui peuvent reprendre progressivement leur place dans le monde du travail.
Au cours des prochaines semaines et des prochains mois, de nouvelles avancées au bénéfice des plus démunis verront le jour : avec la création de la complémentaire santé solidaire, l’accès à la santé sera renforcé ; les petites communes fragiles qui adopteront une tarification sociale de leurs cantines
seront appuyées par l’État pour améliorer l’accès à l’alimentation des enfants les plus pauvres ; la création du revenu universel d’activité et du service public de l’insertion permettront à chaque personne en difficulté de bénéficier de droits sociaux clairs, lisibles et compréhensibles et d’un accompagnement adapté.
Ces avancées n’auraient pas été possibles sans l’implication collective de chaque acteur de la stratégie. Ce sont d’abord les collectivités territoriales et en particulier les départements qui ont accepté de s’engager dans de nouvelles relations contractuelles avec l’État. La contractualisation entre l’État et les départements est aujourd’hui une première étape réussie (près de 100 signataires) vers des politiques sociales mieux évaluées et mieux territorialisées.
Ce sont aussi les 450 animateurs de la stratégie et les 11 000 participants aux groupes régionaux qui oeuvrent, chaque jour, à l’atteinte des objectifs de la
stratégie pauvreté sur le terrain. Ce mois de septembre sera l’occasion de revenir sur toutes ces avancées, présenter les initiatives qui ont fleuri en région, échanger sur les projets et préparer les évolutions à venir.
Ministère de la Santé - Communiqué complet- 2019-09-13
Discours de Julien Denormandie
Discours complet - 2019-09-13
- prévenir la pauvreté dès le plus jeune âge
- faire du retour à l’emploi une priorité.
Depuis un an, la stratégie pauvreté a concerné, dans leur quotidien, plusieurs centaines de milliers de nos concitoyens, et cet impact ira croissant jusqu’en 2022. Grâce à la mise en place des petits déjeuners dans les écoles, à l’instauration du bonus mixité sociale dans les crèches et à l’adoption de l’obligation de formation jusqu’à 18 ans, l’apprentissage des enfants les plus pauvres est renforcé. Avec le déploiement de la Garantie d’activité et le soutien accru au secteur de l’insertion par l’activité économique, ce sont les demandeurs d’emploi les plus éloignés du marché du travail qui peuvent reprendre progressivement leur place dans le monde du travail.
Au cours des prochaines semaines et des prochains mois, de nouvelles avancées au bénéfice des plus démunis verront le jour : avec la création de la complémentaire santé solidaire, l’accès à la santé sera renforcé ; les petites communes fragiles qui adopteront une tarification sociale de leurs cantines
seront appuyées par l’État pour améliorer l’accès à l’alimentation des enfants les plus pauvres ; la création du revenu universel d’activité et du service public de l’insertion permettront à chaque personne en difficulté de bénéficier de droits sociaux clairs, lisibles et compréhensibles et d’un accompagnement adapté.
Ces avancées n’auraient pas été possibles sans l’implication collective de chaque acteur de la stratégie. Ce sont d’abord les collectivités territoriales et en particulier les départements qui ont accepté de s’engager dans de nouvelles relations contractuelles avec l’État. La contractualisation entre l’État et les départements est aujourd’hui une première étape réussie (près de 100 signataires) vers des politiques sociales mieux évaluées et mieux territorialisées.
Ce sont aussi les 450 animateurs de la stratégie et les 11 000 participants aux groupes régionaux qui oeuvrent, chaque jour, à l’atteinte des objectifs de la
stratégie pauvreté sur le terrain. Ce mois de septembre sera l’occasion de revenir sur toutes ces avancées, présenter les initiatives qui ont fleuri en région, échanger sur les projets et préparer les évolutions à venir.
Ministère de la Santé - Communiqué complet- 2019-09-13
Discours de Julien Denormandie
Discours complet - 2019-09-13
Dans la même rubrique
-
Actu - Action sociale - Vieillissement des personnes accompagnées, les « incasables » des politiques publiques
-
Actu - Action sociale - Roquelaure de la simplification : Les CCAS doivent rester obligatoires
-
JORF - Action sociale - Catégories de structures habilitées à coordonner les parcours coordonnés renforcés
-
JORF - Action sociale - Protection des majeurs - Modification du contenu du dossier de demande d'agrément des mandataires judiciaires exerçant à titre individuel
-
Doc - Action sociale - La France face à la solitude : entre repli sur soi et quête de liens