Le litige porte sur la légalité d’un entretien professionnel conduit en présence du supérieur hiérarchique direct et de son N+2. La juridiction examine si cette configuration contrevient aux règles encadrant l’évaluation annuelle.
Elle retient que la présence d’un supérieur hiérarchique de rang plus élevé n’a pas altéré la compétence de l’autorité immédiatement supérieure chargée de conduire l’entretien. La participation du supérieur secondaire est appréciée comme un accompagnement sans incidence sur la régularité de la procédure.
Constatant l’absence d’atteinte aux garanties procédurales, la juridiction juge que cette présence ne vicie pas l’entretien et n’entraîne pas l’irrégularité de l’évaluation. Le recours est ainsi rejeté.
TA Montpellier – n° 2306710 – 21 novembre 2025