
En 2020, la pandémie de Covid-19 et les mesures de restrictions sanitaires mises en place pour l’endiguer ont considérablement ralenti l’activité économique et affecté la trésorerie des entreprises. Le secteur culturel, comptant un grand nombre d’établissements accueillant du public s’est ainsi retrouvé particulièrement affecté par cette nouvelle conjoncture.
Cette étude s’appuie sur des données individuelles et présente les résultats de modèles de microsimulation permettant d’une part d’estimer les pertes d’activité subies par les entreprises culturelles par rapport à un scénario où la crise n’aurait pas eu lieu, d’autre part d’évaluer les conséquences d’un an de crise sur la situation financière de ces entreprises. L’impact des mesures publiques de soutien sur l’évolution de leur besoin d’endettement est examiné.
Les pertes d’activité attribuables à la crise ont été importantes et plus prononcées dans le secteur culturel que dans le reste de l’économie. L’hétérogénéité des situations est toutefois prononcée entre les domaines culturels, mais également entre les entreprises d’un même domaine. Cette diversité des situations illustre l’inégale capacité qu’ont eue les entreprises à réorganiser leur activité et diversifier leur offre de biens et services, en s’appropriant notamment les outils numériques.
Malgré les mesures publiques de soutien et l’adaptation du comportement des entreprises, les pertes d’activité se sont traduites par une tension financière prononcée sur le secteur. À la fin de l’année 2020, une entreprise culturelle sur quatre rencontre un besoin de financement d’un montant supérieur au chiffre d’affaires qu’elle réalise sur un mois d’activité
Ministère de la Culture >> Note 2022-1
Cette étude s’appuie sur des données individuelles et présente les résultats de modèles de microsimulation permettant d’une part d’estimer les pertes d’activité subies par les entreprises culturelles par rapport à un scénario où la crise n’aurait pas eu lieu, d’autre part d’évaluer les conséquences d’un an de crise sur la situation financière de ces entreprises. L’impact des mesures publiques de soutien sur l’évolution de leur besoin d’endettement est examiné.
Les pertes d’activité attribuables à la crise ont été importantes et plus prononcées dans le secteur culturel que dans le reste de l’économie. L’hétérogénéité des situations est toutefois prononcée entre les domaines culturels, mais également entre les entreprises d’un même domaine. Cette diversité des situations illustre l’inégale capacité qu’ont eue les entreprises à réorganiser leur activité et diversifier leur offre de biens et services, en s’appropriant notamment les outils numériques.
Malgré les mesures publiques de soutien et l’adaptation du comportement des entreprises, les pertes d’activité se sont traduites par une tension financière prononcée sur le secteur. À la fin de l’année 2020, une entreprise culturelle sur quatre rencontre un besoin de financement d’un montant supérieur au chiffre d’affaires qu’elle réalise sur un mois d’activité
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