Les jardins, espaces verts et infrastructures (JEVI - anciennement Zones Non Agricoles), et en particulier les pelouses sportives, ont été ciblés par les Ministères de la Transition Ecologique (MTE) et celui chargé des Sports (MS) afin d’inscrire ces équipements dans les objectifs du plan Ecophyto 2+ et de la loi Climat et Résilience (parue au JO le 24/08/2021, la mesure phare n°15 précise l’obligation de prise en compte des critères écologiques dans tous les marchés et les commandes publics, tels que pour les terrains de grands jeux).
En 2021, 55 000 ha de terrains engazonnés sont dédiés à une pratique sportive, et seulement 17 000 ha sont concernés par l’usage des produits phytopharmaceutiques. Aussi, les sports sur gazon naturel ne représentent que 0,02 % des produits phytopharmaceutiques utilisés annuellement en France, soit 21 tonnes de substances actives, et 2,5 % des quantités de produits utilisés dans les JEVI.
Par ailleurs, aucun des produits phytopharmaceutiques autorisés sur les pelouses sportives n’est classé comme cancérigène, mutagène ou toxique pour la reproduction, avérée ou présumée, ou comme un produit très dangereux pour l’homme ou pour d’autres animaux.
Plusieurs mesures sur le volet sport impactent ou impacteront les collectivités locales dans les prochaines années.
Au sommaire :
- Evolution de la loi Labbé et accompagnement des collectivités
- Terrains synthétiques et microplastiques
- Au mois d’août 2021, l’ECHA n’a toujours pas remis son rapport à la Commission européenne. Les acteurs restent donc dans l’attente.
- Sècheresse et gestion de l’arrosage / gestion de l’eau
ANDES >> Note complète
En 2021, 55 000 ha de terrains engazonnés sont dédiés à une pratique sportive, et seulement 17 000 ha sont concernés par l’usage des produits phytopharmaceutiques. Aussi, les sports sur gazon naturel ne représentent que 0,02 % des produits phytopharmaceutiques utilisés annuellement en France, soit 21 tonnes de substances actives, et 2,5 % des quantités de produits utilisés dans les JEVI.
Par ailleurs, aucun des produits phytopharmaceutiques autorisés sur les pelouses sportives n’est classé comme cancérigène, mutagène ou toxique pour la reproduction, avérée ou présumée, ou comme un produit très dangereux pour l’homme ou pour d’autres animaux.
Plusieurs mesures sur le volet sport impactent ou impacteront les collectivités locales dans les prochaines années.
Au sommaire :
- Evolution de la loi Labbé et accompagnement des collectivités
- Terrains synthétiques et microplastiques
- Au mois d’août 2021, l’ECHA n’a toujours pas remis son rapport à la Commission européenne. Les acteurs restent donc dans l’attente.
- Sècheresse et gestion de l’arrosage / gestion de l’eau
ANDES >> Note complète
Dans la même rubrique
-
Actu - Quel(s) impact(s) un club sportif a-t-il sur son territoire ?
-
Circ. - Qualification juridique du relais de la flamme olympique
-
Actu - "Anticiper les Jeux" : La démarche du Gouvernement à destination des franciliens pour préparer leurs déplacements du quotidien pendant les Jeux
-
Circ. - Concours « Fresques Sportives » - Grande Cause Nationale 2024
-
Actu - Relance de la filière de l’économie du Sport à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques 2024