
Selon la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), à quelques semaines de la date limite, «la grande majorité des sites web du secteur public ne respecte pas pleinement les dispositions légales relatives aux traceurs».
Trois ans après l’entrée en vigueur du Règlement général européen sur la protection des données, 200 communes ont reçu un «courrier de sensibilisation» de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), leur demandant de se mettre en conformité avant le 31 mars avec la réglementation européenne sur «l'usage des cookies et autres traceurs».
Selon le RGPD, les internautes - sur ordinateur, smartphone, tablette numérique ou console de jeux vidéo connectée à internet - doivent pouvoir explicitement accepter ou non de consentir au traçage.
Les interfaces de recueil des choix des utilisateurs d’applications ou de sites recourant à ces techniques de traçage doivent fonctionner. «Les organismes du secteur public se doivent donc de modifier leurs pratiques dans la mesure où leurs sites recourent à de tels traceurs notamment lorsqu’ils intègrent des contenus provenant de sources externes (boutons de réseaux sociaux, vidéos hébergées par un tiers, etc.)», précise la Cnil. Les responsables des sites internet des collectivités devront au moins s’assurer qu’un bandeau cookies, apparaissant notamment sur la page d’accueil du site web, détaille les finalités pour lesquelles ces cookies sont déposés sur les terminaux des utilisateurs.
Source >> Cap-Com
Trois ans après l’entrée en vigueur du Règlement général européen sur la protection des données, 200 communes ont reçu un «courrier de sensibilisation» de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), leur demandant de se mettre en conformité avant le 31 mars avec la réglementation européenne sur «l'usage des cookies et autres traceurs».
Selon le RGPD, les internautes - sur ordinateur, smartphone, tablette numérique ou console de jeux vidéo connectée à internet - doivent pouvoir explicitement accepter ou non de consentir au traçage.
Les interfaces de recueil des choix des utilisateurs d’applications ou de sites recourant à ces techniques de traçage doivent fonctionner. «Les organismes du secteur public se doivent donc de modifier leurs pratiques dans la mesure où leurs sites recourent à de tels traceurs notamment lorsqu’ils intègrent des contenus provenant de sources externes (boutons de réseaux sociaux, vidéos hébergées par un tiers, etc.)», précise la Cnil. Les responsables des sites internet des collectivités devront au moins s’assurer qu’un bandeau cookies, apparaissant notamment sur la page d’accueil du site web, détaille les finalités pour lesquelles ces cookies sont déposés sur les terminaux des utilisateurs.
Source >> Cap-Com
Dans la même rubrique
-
Parl. - Garantir une solution d’assurance à l’ensemble des collectivités territoriales (PPL adoptée, en navette)
-
Juris - Conduite d’eau endommagée : quand l’imprécision du plan joint à la DICT conduit à un partage de responsabilité entre la collectivité et l’entreprise
-
RM - Suivi des contrats d'assurance des collectivités locales en lien avec l'instruction budgétaire et comptable M57
-
Circ. - Assurabilité des collectivités territoriales : mieux assurer une sinistralité mieux maîtrisée
-
Circ. - Roquelaure de la simplification : remontée des propositions de simplification