Le gouvernement intensifie l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) générative dans la fonction publique. Après le projet LLamandement ,, destiné à synthétiser les propositions d’amendements, un nouveau projet baptisé Albert est mis en avant. Initié en 2023 par la Dinum et Etalab, Albert vise à expérimenter avec l’IA pour créer des modèles destinés aux agents publics.
Le Premier ministre Gabriel Attal souhaite étendre ce projet pour aider les agents à répondre plus rapidement aux usagers, notamment au Fisc avec ses 16 millions de demandes annuelles. Ces outils proposeront des réponses rédigées pour relecture avant envoi.
Albert pourrait également être utilisé pour la retranscription d’audiences judiciaires, le dépôt de plaintes et les comptes rendus médicaux, ainsi que pour aider les conseillers France Services dans leurs missions.
De l’expérimentation à la généralisation
Depuis début 2024, l’outil Albert est testé par les conseillers France Services, avec une extension prévue à d’autres administrations. Ulrich Tan, directeur du projet chez Etalab, a indiqué sur BFMTV que « cinquante administrations » ont manifesté leur intérêt pour Albert. Ce projet, basé sur les modèles open source de Mistral AI et LLama de Meta, est entraîné avec des données de service-public.fr.
L’outil Albert, incluant des fonctionnalités comme la citation des sources, vise à fournir une IA souveraine pour les services publics, réduisant la dépendance à des solutions étrangères comme ChatGPT.
Après des tests concluants en octobre 2023 avec des IA du marché, le gouvernement promeut désormais ses propres outils d’IA générative.
Source - ZDNET
Le Premier ministre Gabriel Attal souhaite étendre ce projet pour aider les agents à répondre plus rapidement aux usagers, notamment au Fisc avec ses 16 millions de demandes annuelles. Ces outils proposeront des réponses rédigées pour relecture avant envoi.
Albert pourrait également être utilisé pour la retranscription d’audiences judiciaires, le dépôt de plaintes et les comptes rendus médicaux, ainsi que pour aider les conseillers France Services dans leurs missions.
De l’expérimentation à la généralisation
Depuis début 2024, l’outil Albert est testé par les conseillers France Services, avec une extension prévue à d’autres administrations. Ulrich Tan, directeur du projet chez Etalab, a indiqué sur BFMTV que « cinquante administrations » ont manifesté leur intérêt pour Albert. Ce projet, basé sur les modèles open source de Mistral AI et LLama de Meta, est entraîné avec des données de service-public.fr.
L’outil Albert, incluant des fonctionnalités comme la citation des sources, vise à fournir une IA souveraine pour les services publics, réduisant la dépendance à des solutions étrangères comme ChatGPT.
Après des tests concluants en octobre 2023 avec des IA du marché, le gouvernement promeut désormais ses propres outils d’IA générative.
Source - ZDNET