
Pour s’occuper de ses enfants, d’un proche, ou tout simplement pour prendre du temps pour soi, passer d’un travail à plein temps à un temps partiel peut s’avérer bénéfique. Voici quelques clés pour aborder ce changement le plus sereinement possible.
En 2022, 17,3 % des salariés travaillaient à temps partiel en France. Quand il est choisi, le travail à temps partiel permet souvent de trouver une forme d’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle.
Temps partiel : ce qui change
En passant d’un temps plein à un temps partiel, un salarié conserve ses droits (mutuelle, congés payés, avantages liés à l’ancienneté…) mais il perd aussi l’équivalent des heures non travaillées en salaire. Cependant, un parent qui réduit son activité pour s’occuper de son enfant peut, sous certaines conditions, bénéficier de la prestation partagée d’éducation de l’enfant (PreParE), une aide financière proposée par la CAF.
Selon sa convention ou son accord d’entreprise, d’établissement ou de branche, le salarié peut également perdre tout ou partie de ses RTT et/ou voir son compte de jours de congés réduit, tout comme ses primes, ses tickets restaurants et la prise en charge de ses transports. Important à savoir également : un employeur peut imposer au salarié la répartition de ses heures travaillées.
Un changement qui s’organise
Une fois les pours et les contres identifiés, il est essentiel d’en parler à son manager. Cela permet d’exposer ses arguments et de commencer à aborder les conditions de ce changement.
La demande officielle se fait ensuite selon des modalités propres aux dispositions conventionnelles de chacun, bien souvent en adressant un courrier en recommandé avec accusé de réception à son employeur. Celui-ci doit préciser la durée de travail et la date de début de temps partiel souhaitées.
Le contrat de travail doit ensuite être modifié en incluant plusieurs mentions : qualification et rémunération du salarié, durée du travail, répartition de cette durée sur la semaine ou le mois…
CAF - Dossier complet
En 2022, 17,3 % des salariés travaillaient à temps partiel en France. Quand il est choisi, le travail à temps partiel permet souvent de trouver une forme d’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle.
Temps partiel : ce qui change
En passant d’un temps plein à un temps partiel, un salarié conserve ses droits (mutuelle, congés payés, avantages liés à l’ancienneté…) mais il perd aussi l’équivalent des heures non travaillées en salaire. Cependant, un parent qui réduit son activité pour s’occuper de son enfant peut, sous certaines conditions, bénéficier de la prestation partagée d’éducation de l’enfant (PreParE), une aide financière proposée par la CAF.
Selon sa convention ou son accord d’entreprise, d’établissement ou de branche, le salarié peut également perdre tout ou partie de ses RTT et/ou voir son compte de jours de congés réduit, tout comme ses primes, ses tickets restaurants et la prise en charge de ses transports. Important à savoir également : un employeur peut imposer au salarié la répartition de ses heures travaillées.
Un changement qui s’organise
Une fois les pours et les contres identifiés, il est essentiel d’en parler à son manager. Cela permet d’exposer ses arguments et de commencer à aborder les conditions de ce changement.
La demande officielle se fait ensuite selon des modalités propres aux dispositions conventionnelles de chacun, bien souvent en adressant un courrier en recommandé avec accusé de réception à son employeur. Celui-ci doit préciser la durée de travail et la date de début de temps partiel souhaitées.
Le contrat de travail doit ensuite être modifié en incluant plusieurs mentions : qualification et rémunération du salarié, durée du travail, répartition de cette durée sur la semaine ou le mois…
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