
Lors des épisodes caniculaires, les messages de prévention reviennent régulièrement dans les médias afin de limiter l’impact sanitaire des épisodes de chaleur extrême : « bien » s’hydrater, éviter le soleil et les lieux chauds, ne pas faire de travail intense, éviter de faire du sport en extérieur aux heures les plus chaudes de la journée…
Si utiles que soient ces rappels de « bon sens », ils occultent cependant un aspect essentiel de la situation : le coup de chaleur dit d’« exercice », autrement dit celui qui concerne potentiellement les joggeurs ou les travailleurs est différent du coup de chaleur « classique » subit par les individus fragiles (nourrissons, personnes âgées, malades chroniques), qui formèrent l’immense cohorte des 15 000 à 16 000 décès survenus suite à la funeste canicule de 2003.
Brutal, de pronostic très sombre en cas de retard de diagnostic, le coup de chaleur d’exercice peut emporter subitement des jeunes gens en apparente bonne santé, probablement victimes de leur propre flore microbienne. Or les messages de prévention actuels, très généraux, ne sont pas adaptés à ce cas bien spécifique.
Au sommaire
Une survenue brutale et imprévisible
Une prévalence non négligeable
La flore intestinale impliquée
Une prise en charge rapide indispensable
Des contextes d’apparition spécifiques
Repenser les messages de prévention
The Conversation - Article complet
Si utiles que soient ces rappels de « bon sens », ils occultent cependant un aspect essentiel de la situation : le coup de chaleur dit d’« exercice », autrement dit celui qui concerne potentiellement les joggeurs ou les travailleurs est différent du coup de chaleur « classique » subit par les individus fragiles (nourrissons, personnes âgées, malades chroniques), qui formèrent l’immense cohorte des 15 000 à 16 000 décès survenus suite à la funeste canicule de 2003.
Brutal, de pronostic très sombre en cas de retard de diagnostic, le coup de chaleur d’exercice peut emporter subitement des jeunes gens en apparente bonne santé, probablement victimes de leur propre flore microbienne. Or les messages de prévention actuels, très généraux, ne sont pas adaptés à ce cas bien spécifique.
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Une survenue brutale et imprévisible
Une prévalence non négligeable
La flore intestinale impliquée
Une prise en charge rapide indispensable
Des contextes d’apparition spécifiques
Repenser les messages de prévention
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