
Depuis sa réforme de 2014, le congé parental a perdu une grande part de son attractivité pour les parents, tout en restant une solution à temps plein ou partiel pour près de 200 000 familles.
Si l’Unaf juge que le projet de congé de naissance mieux indemnisé « va dans le bon sens », elle détaille les trois conditions pour qu’il réponde vraiment aux besoins des jeunes parents et qu’il ne leur complique pas davantage la vie.
1. Un niveau d’indemnisation qui doit rendre possible la prise du congé
2. Une durée qui couvre la 1ère année de l’enfant
3. Le maintien indispensable de la PreParE à l’issue du congé de naissance
Pour l’Unaf, en tenant compte de ces 3 conditions, le congé de naissance constituera une réponse pleinement positive, sans oublier l’absolue nécessité d’augmenter l’offre d’accueil. A ce titre la concrétisation du service public de la Petite enfance doit rester un objectif pour que les parents puissent trouver des solutions d’accueil pour les enfants de 0 à 3 ans disponibles, financièrement abordables et de qualité.
Source - UNAF
Si l’Unaf juge que le projet de congé de naissance mieux indemnisé « va dans le bon sens », elle détaille les trois conditions pour qu’il réponde vraiment aux besoins des jeunes parents et qu’il ne leur complique pas davantage la vie.
1. Un niveau d’indemnisation qui doit rendre possible la prise du congé
2. Une durée qui couvre la 1ère année de l’enfant
3. Le maintien indispensable de la PreParE à l’issue du congé de naissance
Pour l’Unaf, en tenant compte de ces 3 conditions, le congé de naissance constituera une réponse pleinement positive, sans oublier l’absolue nécessité d’augmenter l’offre d’accueil. A ce titre la concrétisation du service public de la Petite enfance doit rester un objectif pour que les parents puissent trouver des solutions d’accueil pour les enfants de 0 à 3 ans disponibles, financièrement abordables et de qualité.
Source - UNAF