
Elle arrive en tête (classée dans le Top 5 des priorités dans 88 % des réponses), distançant largement "l’employabilité des agents et les mobilités internes" (56 % de récurrence dans le Top 5) ainsi que "l’amélioration de la performance des services de la collectivité" (52 %). Par ailleurs, "la prise en compte de la santé et de la qualité de vie au travail des agents" intègre pour la première fois le Top 5 des priorités RH des collectivités.
L’étude a été réalisée du 7 juin au 20 juillet 2017 auprès d’un échantillon représentatif de 523 collectivités au moyen d’un questionnaire en ligne.
Le baromètre RH des collectivités locales en un coup d’œil
- Interrogées sur leurs cinq priorités en 2017 en termes de gestion des ressources humaines (GRH), la "maîtrise de la masse salariale" est la réponse la plus fréquemment citée (88 %) par les collectivités, suivie par l’employabilité des agents (51% en hausse de 5 points). A noter également la forte hausse de la prise en compte de la santé et de la qualité de vie des agents (42 % en hausse de 8 points).
- Pour faire face à la baisse de la DGF, les collectivités entendent d’abord "diminuer certaines charges de fonctionnement et de gestion" (88 %), adopter "une gestion dynamique de leur dette" (75 %) et ensuite "baisser leur masse salariale" (69 %).
- En 2017, moins de quatre collectivités sur dix (39 %) envisagent de réduire leurs effectifs, soit une baisse de cinq points par rapport à 2016 (44 %). Ce résultat est inédit : c’est la première fois depuis 2013 que la part des collectivités anticipant un recul de leurs effectifs baisse d’une année sur l’autre. n Les principaux leviers mobilisés par les collectivités qui envisagent une baisse de leurs effectifs portent très majoritairement sur le "non remplacement des départs à la retraite" (71 % des collectivités utiliseront ce levier), suivi par le "non renouvellement de certains contrats contractuels" (14 %).
- La principale attente à l’égard du gouvernement concerne le "gel de la baisse de la dotation globale de fonctionnement", exprimée par 41 % des collectivités interrogées. Suivent la "stabilisation du cadre législatif" (18 %) et la "baisse du nombre de normes" (16 %).
- Les principales conséquences de la mise en place du nouveau régime indemnitaire déterminant le montant des primes (RIFSEEP) portent sur des "critères d’évaluation plus objectifs" des agents (29 %), une "hausse de la masse salariale" (22 %) et de "nouveaux leviers de motivation pour attirer les talents" (13 %).
- Dans le sillage de la loi NOTRe (portant sur la nouvelle organisation territoriale de la République), les échelons administratifs les plus menacés de disparition sont le conseil départemental et la commune, estiment les collectivités interrogées par Randstad.
Randstad - Baromètre RH - 2017-09-25
L’étude a été réalisée du 7 juin au 20 juillet 2017 auprès d’un échantillon représentatif de 523 collectivités au moyen d’un questionnaire en ligne.
Le baromètre RH des collectivités locales en un coup d’œil
- Interrogées sur leurs cinq priorités en 2017 en termes de gestion des ressources humaines (GRH), la "maîtrise de la masse salariale" est la réponse la plus fréquemment citée (88 %) par les collectivités, suivie par l’employabilité des agents (51% en hausse de 5 points). A noter également la forte hausse de la prise en compte de la santé et de la qualité de vie des agents (42 % en hausse de 8 points).
- Pour faire face à la baisse de la DGF, les collectivités entendent d’abord "diminuer certaines charges de fonctionnement et de gestion" (88 %), adopter "une gestion dynamique de leur dette" (75 %) et ensuite "baisser leur masse salariale" (69 %).
- En 2017, moins de quatre collectivités sur dix (39 %) envisagent de réduire leurs effectifs, soit une baisse de cinq points par rapport à 2016 (44 %). Ce résultat est inédit : c’est la première fois depuis 2013 que la part des collectivités anticipant un recul de leurs effectifs baisse d’une année sur l’autre. n Les principaux leviers mobilisés par les collectivités qui envisagent une baisse de leurs effectifs portent très majoritairement sur le "non remplacement des départs à la retraite" (71 % des collectivités utiliseront ce levier), suivi par le "non renouvellement de certains contrats contractuels" (14 %).
- La principale attente à l’égard du gouvernement concerne le "gel de la baisse de la dotation globale de fonctionnement", exprimée par 41 % des collectivités interrogées. Suivent la "stabilisation du cadre législatif" (18 %) et la "baisse du nombre de normes" (16 %).
- Les principales conséquences de la mise en place du nouveau régime indemnitaire déterminant le montant des primes (RIFSEEP) portent sur des "critères d’évaluation plus objectifs" des agents (29 %), une "hausse de la masse salariale" (22 %) et de "nouveaux leviers de motivation pour attirer les talents" (13 %).
- Dans le sillage de la loi NOTRe (portant sur la nouvelle organisation territoriale de la République), les échelons administratifs les plus menacés de disparition sont le conseil départemental et la commune, estiment les collectivités interrogées par Randstad.
Randstad - Baromètre RH - 2017-09-25