
Une récente étude de Proofpoint met en lumière la vulnérabilité des ministères et services publics français face aux menaces de fraude par courriel. L'enquête révèle que 74% de ces organismes n'ont pas adopté les mesures de sécurité nécessaires pour se prémunir contre l'usurpation de nom de domaine, exposant ainsi les citoyens à des risques significatifs.
Cette étude s'est basée sur l'analyse de l'adoption du protocole DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting and Conformance). Ce protocole d'authentification des courriels est conçu pour protéger les noms de domaine contre les abus des cybercriminels en authentifiant l'identité de l'expéditeur avant la réception du message. DMARC propose trois niveaux de protection : surveillance, quarantaine et rejet, ce dernier étant le plus efficace pour bloquer les messages suspects.
Sommaire
- Des résultats préoccupants : seulement 26% des organismes utilisent la protection maximale
- Le secteur public : une cible privilégiée pour les cybercriminels
- Les défis de la mise en œuvre de DMARC
- Renforcer la sécurité des courriels
Source - Info DSI
Cette étude s'est basée sur l'analyse de l'adoption du protocole DMARC (Domain-based Message Authentication, Reporting and Conformance). Ce protocole d'authentification des courriels est conçu pour protéger les noms de domaine contre les abus des cybercriminels en authentifiant l'identité de l'expéditeur avant la réception du message. DMARC propose trois niveaux de protection : surveillance, quarantaine et rejet, ce dernier étant le plus efficace pour bloquer les messages suspects.
Sommaire
- Des résultats préoccupants : seulement 26% des organismes utilisent la protection maximale
- Le secteur public : une cible privilégiée pour les cybercriminels
- Les défis de la mise en œuvre de DMARC
- Renforcer la sécurité des courriels
Source - Info DSI