Extrait du communiqué :"… Manque de reconnaissance pour la profession, précarité, conditions de travail désastreuses, réforme des rythmes scolaires mal concertée et produisant les effets contraires à ceux prévus initialement, et maintenant, la casse du Code du travail, la coupe est pleine.Pourtant, du côté du ministère de la Jeunesse, de l’Éducation populaire et de la vie associative qui n’en a que le nom, on se satisfait de l’impact des mesures expérimentales prévues par le décret (n° 2013-707 du 2 août 2013) précisant les normes d’encadrement et qui arrive à échéance en juin 2016.
Les discussions qui se sont déroulées au CNEPJ (conseil national de l’éducation populaire et de la jeunesse) dans le cadre d’une réunion qui s’est tenue le 16 mars 2016 au cours de laquelle aucun syndicat de la fonction publique territoriale n’a été invité, portaient sur l’autosatisfaction du gouvernement quant à cette mesure qui produit davantage de précarité pour les animateurs et d’insécurité pour les enfants.
Nous déplorons le manque de concertation avec les animateurs et les ATSEM. Ces derniers, corvéables à merci et maintenus dans une grande précarité, assistent notamment à une véritable dégradation de la qualité éducative de leurs interventions, avec une insécurité grandissante pour les enfants, chez qui l’on note un accroissement de la fatigue inquiétant…"
CGT - 2016-04-05
Les discussions qui se sont déroulées au CNEPJ (conseil national de l’éducation populaire et de la jeunesse) dans le cadre d’une réunion qui s’est tenue le 16 mars 2016 au cours de laquelle aucun syndicat de la fonction publique territoriale n’a été invité, portaient sur l’autosatisfaction du gouvernement quant à cette mesure qui produit davantage de précarité pour les animateurs et d’insécurité pour les enfants.
Nous déplorons le manque de concertation avec les animateurs et les ATSEM. Ces derniers, corvéables à merci et maintenus dans une grande précarité, assistent notamment à une véritable dégradation de la qualité éducative de leurs interventions, avec une insécurité grandissante pour les enfants, chez qui l’on note un accroissement de la fatigue inquiétant…"
CGT - 2016-04-05