Un constat fait l’unanimité : en France, aujourd’hui, les formations en archivistique n’abordent que de manière secondaire ce métier. Les archives nationales, départementales et municipales, mais également les archives d’entreprises ou d’associations sont souvent étudiées plus profondément, reléguant l’itinérance à une dimension purement technique et paperassière.
Il est vrai que sa faible possibilité de valoriser les archives et sa part administrative qui prend souvent le pas sur sa part culturelle peuvent rendre l’itinérance peu avenante, notamment auprès des étudiants.
Nombreux sont les archivistes à l’exercer en début de carrière, voire en premier poste.
Tout semble donc indiquer qu’il offre des opportunités aux jeunes diplômés que peut-être d’autres facettes du métier d’archiviste ne permettent pas. Cette modeste étude vise donc à éclaircir certains pans de la profession afin de les partager…
Aedaa >> Rapport complet
L’Association des étudiants et des diplômés de la formation en archivistique d’Angers
Le site de l’Aedaa
Il est vrai que sa faible possibilité de valoriser les archives et sa part administrative qui prend souvent le pas sur sa part culturelle peuvent rendre l’itinérance peu avenante, notamment auprès des étudiants.
Nombreux sont les archivistes à l’exercer en début de carrière, voire en premier poste.
Tout semble donc indiquer qu’il offre des opportunités aux jeunes diplômés que peut-être d’autres facettes du métier d’archiviste ne permettent pas. Cette modeste étude vise donc à éclaircir certains pans de la profession afin de les partager…
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