
Novembre, c’est le mois sans tabac. Forte de son succès, cette opération revient pour la 3ème année consécutive. Un défi collectif qui propose à tous les fumeurs d’arrêter avec le soutien de leurs proches et pourquoi pas… de leurs collègues de travail. Présentation du #MoisSansTabac et explications en 3 points.
#MoisSansTabac
Avec #MoisSansTabac, vous êtes soutenu(e) et mettez toutes les chances de votre côté grâce aux tabacologues du 39 89 (service gratuit + coût de l’appel, du lundi au samedi de 8h à 20h), à l’appli e-coaching et à la communauté Facebook. Et si vous souhaitez aider un collègue ou un employé à arrêter, vous pouvez aussi lui apporter votre soutien.
Et votre entreprise ?
Nombreuses sont les entreprises à aider leurs salariés à arrêter de fumer. Renseignez-vous auprès de vos responsables des ressources humaines.
3 raisons pour tenter l’aventure du #MoisSansTabac
1. Parce le tabagisme passif est nocif pour la santé
Si il est interdit de fumer sur son lieu de travail, c’est d’abord pour lutter contre le tabagisme passif qui est à l’origine de plus de 5 000 décès chaque année. La loi protège les non-fumeurs du tabac.
2. Parce qu’en tant qu’employeur vous pouvez vous impliquer dans cette opération
Le mois sans tabac peut en effet être l’occasion d’impulser des actions collectives, conviviales afin d’encourager et d’aider vos salariés qui souhaiteraient arrêter de fumer. Cette opération est devenu un rendez-vous régulier et privilégié pour contribuer et aider en équipe tous les fumeurs dans leur démarche de sevrage.
3. Parce que fumer sur son lieu de travail est sanctionné
Ne pas respecter l’interdiction de fumer dans les lieux de travail, c’est bien évidemment prendre un risque pour sa santé et celle des autres. Mais c’est aussi un risque pour son porte-monnaie.
Fumer dans un lieu de travail est passible d’une amende forfaitaire de 68 € (contravention de 3ème classe). Après 45 jours, son montant est majoré à 180€. Et si la procédure de l’amende forfaitaire n’est pas utilisée, l’amende peut aller jusqu’à 450 €. Chère cigarette…
Et le vapotage ?
L’usage de la cigarette électronique est interdit dans les lieux clos et couverts à usage collectif. Il est en revanche toléré dans les bureaux individuels. Les amendes s’élèvent à 35€ pour l’usager et 68€ pour le responsable des locaux.
Ministère du travail - 2018-11-15
#MoisSansTabac
Avec #MoisSansTabac, vous êtes soutenu(e) et mettez toutes les chances de votre côté grâce aux tabacologues du 39 89 (service gratuit + coût de l’appel, du lundi au samedi de 8h à 20h), à l’appli e-coaching et à la communauté Facebook. Et si vous souhaitez aider un collègue ou un employé à arrêter, vous pouvez aussi lui apporter votre soutien.
Et votre entreprise ?
Nombreuses sont les entreprises à aider leurs salariés à arrêter de fumer. Renseignez-vous auprès de vos responsables des ressources humaines.
3 raisons pour tenter l’aventure du #MoisSansTabac
1. Parce le tabagisme passif est nocif pour la santé
Si il est interdit de fumer sur son lieu de travail, c’est d’abord pour lutter contre le tabagisme passif qui est à l’origine de plus de 5 000 décès chaque année. La loi protège les non-fumeurs du tabac.
2. Parce qu’en tant qu’employeur vous pouvez vous impliquer dans cette opération
Le mois sans tabac peut en effet être l’occasion d’impulser des actions collectives, conviviales afin d’encourager et d’aider vos salariés qui souhaiteraient arrêter de fumer. Cette opération est devenu un rendez-vous régulier et privilégié pour contribuer et aider en équipe tous les fumeurs dans leur démarche de sevrage.
3. Parce que fumer sur son lieu de travail est sanctionné
Ne pas respecter l’interdiction de fumer dans les lieux de travail, c’est bien évidemment prendre un risque pour sa santé et celle des autres. Mais c’est aussi un risque pour son porte-monnaie.
Fumer dans un lieu de travail est passible d’une amende forfaitaire de 68 € (contravention de 3ème classe). Après 45 jours, son montant est majoré à 180€. Et si la procédure de l’amende forfaitaire n’est pas utilisée, l’amende peut aller jusqu’à 450 €. Chère cigarette…
Et le vapotage ?
L’usage de la cigarette électronique est interdit dans les lieux clos et couverts à usage collectif. Il est en revanche toléré dans les bureaux individuels. Les amendes s’élèvent à 35€ pour l’usager et 68€ pour le responsable des locaux.
Ministère du travail - 2018-11-15