Après avoir augmenté dans les années 2000, la part de personnes qui estiment que leur situation est meilleure que celle de leurs parents au même âge a nettement diminué dans les années 2000. La part de ceux qui estime qu’elle est moins bonne est stable et ceux qui pense qu’elle est à peu près identique progresse.
Pour expliquer une telle évolution, il faut se méfier des simplifications. Toute la population de 18 ans et plus est interrogée : on rassemble différentes générations, qui se comparent avec des générations de parents elles-mêmes très différentes…
Les plus anciens des parents ont bénéficié des Trente Glorieuses alors que les parents des enfants les plus jeunes interrogés (18 ans) ont autour de 45-50 ans et sont entrés sur le marché du travail alors que le chômage était déjà à un niveau élevé.
Globalement, plus on s’élève en âge, plus on s’estime mieux loti que ses parents. Pour les classes d’âge récentes, l’effet du décalage entre le niveau de diplôme et l’insertion professionnelle réelle joue
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Pour expliquer une telle évolution, il faut se méfier des simplifications. Toute la population de 18 ans et plus est interrogée : on rassemble différentes générations, qui se comparent avec des générations de parents elles-mêmes très différentes…
Les plus anciens des parents ont bénéficié des Trente Glorieuses alors que les parents des enfants les plus jeunes interrogés (18 ans) ont autour de 45-50 ans et sont entrés sur le marché du travail alors que le chômage était déjà à un niveau élevé.
Globalement, plus on s’élève en âge, plus on s’estime mieux loti que ses parents. Pour les classes d’âge récentes, l’effet du décalage entre le niveau de diplôme et l’insertion professionnelle réelle joue
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