
Selon les enquêtes Cadre de vie et sécurité, sur la période 2013-2018, les forces de sécurité intérieure (soit les policiers nationaux ou municipaux et les gendarmes) présentent des taux de victimation plus élevés pour les violences physiques (11 % en moyenne par an) et les violences verbales (31 % en moyenne par an), que l’ensemble des personnes occupant un emploi (respectivement 2 % et 14 % en moyenne par an).
Sur la même période, l’ensemble plus large des policiers, des militaires et des professions assimilées a été davantage victime d’agressions physiques (7 % en moyenne par an) ou verbales (27 % en moyenne par an) que les autres catégories socioprofessionnelles agrégées.
Concernant le signalement des atteintes, les membres des forces de sécurité intérieure victimes de violences physiques ou verbales sont plus enclins à déposer plainte que les autres personnes occupant un emploi.
Retrouvez la publication ici
Ministère de l’Intérieur>> Etude complète
Sur la même période, l’ensemble plus large des policiers, des militaires et des professions assimilées a été davantage victime d’agressions physiques (7 % en moyenne par an) ou verbales (27 % en moyenne par an) que les autres catégories socioprofessionnelles agrégées.
Concernant le signalement des atteintes, les membres des forces de sécurité intérieure victimes de violences physiques ou verbales sont plus enclins à déposer plainte que les autres personnes occupant un emploi.
Retrouvez la publication ici
Ministère de l’Intérieur>> Etude complète