
Qui parmi vous n’a jamais été ramené sur Terre au cours d’une réunion de travail ? Soyez rassurés, les neuroscientifiques ont montré que ce phénomène, dénommé en Anglais Mind-Wandering, est davantage la norme que l’exception .
Dans une première approche approximative, il est possible de définir le Mind-Wandering comme le contraire du flow , c’est-à-dire de l’engagement extrême dans le travail. Ces deux états ont malgré tout pour point commun une perte passagère de conscience du temps et de l’environnement.
Pendant ces moments, notre pensée se disperse sans forcément poursuivre un but précis. Elle flotte et associe une idée à une autre sans forcément de logique précise. Elle est instable contrairement à nos moments de rumination. Cette dérive peut être spontanée comme quand vous lisez une phrase sans en comprendre le sens ou, au contraire, intentionnelle à l’image de ces instants où vous planifiez intellectuellement vos prochaines vacances alors que vous devriez travailler.
Au sommaire :
- Combattre les rêveurs ?
- Newton sous le pommier et Archimède dans son bain
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Dans une première approche approximative, il est possible de définir le Mind-Wandering comme le contraire du flow , c’est-à-dire de l’engagement extrême dans le travail. Ces deux états ont malgré tout pour point commun une perte passagère de conscience du temps et de l’environnement.
Pendant ces moments, notre pensée se disperse sans forcément poursuivre un but précis. Elle flotte et associe une idée à une autre sans forcément de logique précise. Elle est instable contrairement à nos moments de rumination. Cette dérive peut être spontanée comme quand vous lisez une phrase sans en comprendre le sens ou, au contraire, intentionnelle à l’image de ces instants où vous planifiez intellectuellement vos prochaines vacances alors que vous devriez travailler.
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- Combattre les rêveurs ?
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