
Dans sa dernière étude, Proofpoint révèle que la perte de données découle principalement de l’interaction entre les individus et les systèmes, et des « utilisateurs imprudents », plus susceptibles de provoquer des incidents que des systèmes compromis ou mal configurés.
Si les entreprises investissent dans des solutions DLP (Data Loss Prevention), ces dernières demeurent insuffisantes au regard des résultats de l’étude. En effet, 90 % d’entre elles ont subi des pertes de données au cours de l’année écoulée et pour 88 %, ces pertes ont entraîné des conséquences négatives, comme une interruption de l’activité de l’entreprise, des pertes de revenus (pour 65 % des organisations) ou encore des atteintes à la réputation de l’organisation (37 %).
Au sommaire :
- La perte de données est une problématique répandue pourtant évitable
- Les mails mal-acheminés sont l’une des causes les plus communes et importantes
- L’IA générative est une menace croissante
- Les conséquences coûteuses des actions malveillantes
- Les employés sur le départ sont les utilisateurs les plus porteurs de risque (48 %)
- Les utilisateurs privilégiés endossent aussi la majorité du risque
- Les programmes de prévention arrivent à maturité
Info DSI - Article complet
Si les entreprises investissent dans des solutions DLP (Data Loss Prevention), ces dernières demeurent insuffisantes au regard des résultats de l’étude. En effet, 90 % d’entre elles ont subi des pertes de données au cours de l’année écoulée et pour 88 %, ces pertes ont entraîné des conséquences négatives, comme une interruption de l’activité de l’entreprise, des pertes de revenus (pour 65 % des organisations) ou encore des atteintes à la réputation de l’organisation (37 %).
Au sommaire :
- La perte de données est une problématique répandue pourtant évitable
- Les mails mal-acheminés sont l’une des causes les plus communes et importantes
- L’IA générative est une menace croissante
- Les conséquences coûteuses des actions malveillantes
- Les employés sur le départ sont les utilisateurs les plus porteurs de risque (48 %)
- Les utilisateurs privilégiés endossent aussi la majorité du risque
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