
Une enquête Oodrive - OpinionWay révèle que 70% des cadres dirigeants utilisent désormais la signature électronique contre 50% en 2020.
Les résultats mettent en lumière une croissance significative de l’utilisation de la signature électronique au sein des entreprises, avec une forte accélération depuis le début de la crise sanitaire. Plus sécurisée, plus pratique, l’e-signature développe ses usages pour tous métiers au sein des secteurs privé comme public.
Une tendance qui s’inscrit tout à fait dans le contexte de la prochaine révision du règlement européen eIDAS, dont la publication semble imminente. La conformité réglementaire justement, demeure le principal critère décisionnel pour les directions au moment d’adopter la signature électronique.
Les principaux enseignements de l’enquête :
- Les cadres dirigeants sont les premiers concernés par cette évolution, ils sont aujourd’hui 7 sur 10 à utiliser la signature électronique, contre 5 sur 10 en 2020.
- L’e-signature remplace petit à petit la signature papier. Si les sondés utilisent encore beaucoup sa version manuscrite (83%), ils sont de moins en moins nombreux (92 % en 2020) et de moins en moins satisfaits de ses bénéfices : 41 % la jugent désormais moins pratique que l’électronique, contre 30 % auparavant.
- L’expansion des usages de la signature électronique est en corrélation directe avec sa pénétration dans divers secteurs et professions. Cette technologie trouve désormais sa place dans un large éventail d’activités professionnelles, touchant aussi bien les domaines RH, juridiques, financiers et administratifs que ceux de la santé, de l’immobilier ou encore l’assurance.
Son adoption généralisée témoigne de son efficacité transversale et de sa capacité à répondre aux besoins variés des entreprises et des individus dans un monde de plus en plus dématérialisé. Les départements des entreprises sont à l’unisson de cette standardisation de l’e-signature. De 2,9 en 2020, ils sont 4,5 par entreprise en 2024 à utiliser l’e-signature. Le département des ressources humaines enregistre la plus grande progression de l’utilisation en passant de 37 % à 64 %.
- Bien que le secteur public ait été précurseur dans l’adoption de la signature électronique, le processus de prise en main diffère notablement entre le secteur public et le secteur privé.
Dans le secteur public, les initiatives gouvernementales et les réglementations ont souvent joué un rôle majeur dans la promotion et la normalisation de l’e-signature. En revanche, dans le secteur privé, l’adoption de cette technologie a été motivée par des impératifs commerciaux et la volonté d’améliorer l’efficacité opérationnelle. 77 % des entités du secteur public ont adopté un outil de signature électronique avant la crise sanitaire, alors que 60 % des entreprises privées les ont déployés pendant ou après cette crise.
Oodrive / OpinionWay - Enquête
Les résultats mettent en lumière une croissance significative de l’utilisation de la signature électronique au sein des entreprises, avec une forte accélération depuis le début de la crise sanitaire. Plus sécurisée, plus pratique, l’e-signature développe ses usages pour tous métiers au sein des secteurs privé comme public.
Une tendance qui s’inscrit tout à fait dans le contexte de la prochaine révision du règlement européen eIDAS, dont la publication semble imminente. La conformité réglementaire justement, demeure le principal critère décisionnel pour les directions au moment d’adopter la signature électronique.
Les principaux enseignements de l’enquête :
- Les cadres dirigeants sont les premiers concernés par cette évolution, ils sont aujourd’hui 7 sur 10 à utiliser la signature électronique, contre 5 sur 10 en 2020.
- L’e-signature remplace petit à petit la signature papier. Si les sondés utilisent encore beaucoup sa version manuscrite (83%), ils sont de moins en moins nombreux (92 % en 2020) et de moins en moins satisfaits de ses bénéfices : 41 % la jugent désormais moins pratique que l’électronique, contre 30 % auparavant.
- L’expansion des usages de la signature électronique est en corrélation directe avec sa pénétration dans divers secteurs et professions. Cette technologie trouve désormais sa place dans un large éventail d’activités professionnelles, touchant aussi bien les domaines RH, juridiques, financiers et administratifs que ceux de la santé, de l’immobilier ou encore l’assurance.
Son adoption généralisée témoigne de son efficacité transversale et de sa capacité à répondre aux besoins variés des entreprises et des individus dans un monde de plus en plus dématérialisé. Les départements des entreprises sont à l’unisson de cette standardisation de l’e-signature. De 2,9 en 2020, ils sont 4,5 par entreprise en 2024 à utiliser l’e-signature. Le département des ressources humaines enregistre la plus grande progression de l’utilisation en passant de 37 % à 64 %.
- Bien que le secteur public ait été précurseur dans l’adoption de la signature électronique, le processus de prise en main diffère notablement entre le secteur public et le secteur privé.
Dans le secteur public, les initiatives gouvernementales et les réglementations ont souvent joué un rôle majeur dans la promotion et la normalisation de l’e-signature. En revanche, dans le secteur privé, l’adoption de cette technologie a été motivée par des impératifs commerciaux et la volonté d’améliorer l’efficacité opérationnelle. 77 % des entités du secteur public ont adopté un outil de signature électronique avant la crise sanitaire, alors que 60 % des entreprises privées les ont déployés pendant ou après cette crise.
Oodrive / OpinionWay - Enquête