Le HCSP apporte, dans cet avis, des précisions concernant les mesures de protection à mettre en œuvre pour les piscines se situant dans les zones traitées par le malathion.
L’usage dérogatoire du malathion a été autorisé pour 180 jours dans le cadre de la prévention d’une épidémie de chikungunya en Guyane par l’arrêté du 5 août 2014. Il recommande que les autorités locales informent, par des médias multi-canaux, les propriétaires et gestionnaires des piscines, publiques ou privées, des périodes de traitement.
Des précautions sont nécessaires dans le cas des piscines privées traitées au chlore, au brome ou par d’autres procédés oxydants, si celles-ci ne peuvent être protégées par des bâches et se situent à moins de 50 mètres des aspersions de malathion, car le malathion est transformé en malaoxon en présence de ces oxydants, un dérivé plus toxique…
HCSP - 2014-11-24
http://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=460
Dans la même rubrique
-
Actu - Outre-Mer - Crise à Mayotte : le CESE appelle au respect urgent du principe d’égalité républicaine pour les citoyens mahorais
-
JORF - Outre-Mer - Polynésie française - Diverses mesures d'actualisation de la partie réglementaire du CGCT (Elus, assainissement autonome…)
-
RM - Outre-mer : durée de validité de l'extrait d'acte de naissance
-
Parl. - Outre-Mer - Projet de loi de programmation pour la refondation de Mayotte
-
Actu - Outre-Mer - Du local à l’international. Les outre-mer face aux défis économiques, sociaux et environnementaux