
Dans un contexte de marché tendu et face à la montée de la souffrance au travail, il y a urgence à modifier les paradigmes du XXe siècle pour atteindre l’objectif de « tout mettre en œuvre pour éviter toute souffrance physique et mentale au travail ». L’un des fondements de la loi de santé au travail. Ce nouveau baromètre fournit des clés pour l’entreprise « résiliente ».
7e baromètre « Bruit et santé auditive au travail », octobre 2023 : ce qu’il faut retenir
- « Près de la moitié des actifs en poste (45%) déclarent que le bruit au travail a au moins une répercussion pour leurs oreilles sur leur quotidien »
- 33% des actifs déclarent des gênes de compréhension de la parole et 30% des sifflements ou bourdonnements en raison des expositions sonores.
- 60% et 50% des interviewés mentionnent de la « fatigue, lassitude et irritabilité » et du stress en raison des expositions sonores au travail.
- La souffrance psychologique est bien présente,
- Parmi les 52% des actifs en poste de travail déclarant vivre une gêne du bruit, pour 50% d’entre-eux cela impacte leur vie privée
- Les solutions proposées par l’employeur sont jugées insuffisantes
Les angles morts révélés par le baromètre :
- 29% des actifs passent « sous les radars »
- Les 18-24 ans sont nombreux à être exposés au bruit sans être gênés (18% contre 9%).
- 26% des télétravailleurs 2 à 3 jours semaine sont gênés par le bruit bien que peu exposés au bruit.
Les résultats de l’enquête
IFOP >> Etude complète
7e baromètre « Bruit et santé auditive au travail », octobre 2023 : ce qu’il faut retenir
- « Près de la moitié des actifs en poste (45%) déclarent que le bruit au travail a au moins une répercussion pour leurs oreilles sur leur quotidien »
- 33% des actifs déclarent des gênes de compréhension de la parole et 30% des sifflements ou bourdonnements en raison des expositions sonores.
- 60% et 50% des interviewés mentionnent de la « fatigue, lassitude et irritabilité » et du stress en raison des expositions sonores au travail.
- La souffrance psychologique est bien présente,
- Parmi les 52% des actifs en poste de travail déclarant vivre une gêne du bruit, pour 50% d’entre-eux cela impacte leur vie privée
- Les solutions proposées par l’employeur sont jugées insuffisantes
Les angles morts révélés par le baromètre :
- 29% des actifs passent « sous les radars »
- Les 18-24 ans sont nombreux à être exposés au bruit sans être gênés (18% contre 9%).
- 26% des télétravailleurs 2 à 3 jours semaine sont gênés par le bruit bien que peu exposés au bruit.
Les résultats de l’enquête
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