
L’année 2021 marque-t-elle un tournant pour le développement de l’intermodalité entre le vélo et les transports collectifs ? Après le décret sur l’emport des vélos non démontés à bord des trains paru en janvier dernier, le gouvernement publie au Journal officiel le décret visant à généraliser le stationnement sécurisé des vélos en gare .
Dans le sillage de la Loi d’orientation des mobilités (LOM), ce texte liste les 1 133 gares du territoire soumises à l’obligation de se doter de stationnements sécurisés pour les vélos d’ici 2024. Un décret attendu de pied ferme par les usagers et qui pose la première pierre d’une politique de stationnement intermodal pour les cyclistes à l’échelle nationale.
Le stationnement, principal levier de l’intermodalité
Selon la SNCF, 50 % des voyageurs quotidiens habitent à moins de 5 km de leur gare de départ. Autant de candidats à l’intermodalité vélo-train. Encore faut-il des stationnements suffisamment nombreux et surtout, sécurisés.
1 133 gares concernées par le décret
Pour répondre à cet enjeu, l’article L.1272-2 de la LOM renforce le niveau d’équipement des gares et des pôles d’échange. Plus précisément, il prévoit que les gares devant se doter de stationnements vélo sécurisés soient fixées par décret.
Un nombre minimum de stationnements adapté à la fréquentation de chaque gare
Pour chaque gare concernée par le décret, le gouvernement fixe un nombre minimum à atteindre d’ici le 1er janvier 2024. Cette valeur minimum correspond à 4 % de la fréquentation voyageurs journalière entrante de chaque gare (2 % en Île-de-France où les flux de voyageurs sont particulièrement élevés).
VELO TERRITOIRES >> Synthèse complète
Dans le sillage de la Loi d’orientation des mobilités (LOM), ce texte liste les 1 133 gares du territoire soumises à l’obligation de se doter de stationnements sécurisés pour les vélos d’ici 2024. Un décret attendu de pied ferme par les usagers et qui pose la première pierre d’une politique de stationnement intermodal pour les cyclistes à l’échelle nationale.
Le stationnement, principal levier de l’intermodalité
Selon la SNCF, 50 % des voyageurs quotidiens habitent à moins de 5 km de leur gare de départ. Autant de candidats à l’intermodalité vélo-train. Encore faut-il des stationnements suffisamment nombreux et surtout, sécurisés.
1 133 gares concernées par le décret
Pour répondre à cet enjeu, l’article L.1272-2 de la LOM renforce le niveau d’équipement des gares et des pôles d’échange. Plus précisément, il prévoit que les gares devant se doter de stationnements vélo sécurisés soient fixées par décret.
Un nombre minimum de stationnements adapté à la fréquentation de chaque gare
Pour chaque gare concernée par le décret, le gouvernement fixe un nombre minimum à atteindre d’ici le 1er janvier 2024. Cette valeur minimum correspond à 4 % de la fréquentation voyageurs journalière entrante de chaque gare (2 % en Île-de-France où les flux de voyageurs sont particulièrement élevés).
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