Au niveau national, l’enjeu en nombre de lignes encore actives est important : 10 millions selon l’opérateur.
Mais de ces 10 millions, on peut retirer les 540 000 lignes qui sont en dégroupage partiel fin décembre 2016, situation dans laquelle un abonné ADSL a souhaité conserver en parallèle de sa box une ligne de téléphonie classique. Ils pourront sans difficulté abandonner le RTC pour la téléphonie sur IP.
Il y a aussi toutes les résidences secondaires pour lesquelles les abonnés, sans aucun doute équipés de téléphone mobile, verront peu d’inconvénient à ne plus pouvoir utiliser leur vieux poste téléphonique à cadran pendant leurs séjours. Quant aux télé-alarmes dans ces résidences, elles fonctionnent déjà souvent avec un abonnement mobile 2G. Sur le territoire visé par l’expérimentation, certaines communes présentent un taux de résidences secondaires particulièrement élevé (58% à Benodet), comme le montre la carte ci-contre, ce qui réduit d’autant le nombre de foyers non encore équipés en ADSL qui devront basculer vers la téléphonie sur IP.
Il reste un nombre inconnu de personnes, souvent âgées, que surfer sur l’internet n’a pas intéressées et qui ont conservé un téléphone classique. La tâche consistant à les accompagner dans la migration du RTC vers la téléphonie sur IP incombera aux associations et aux Conseils départementaux, qui sont chargés des missions de solidarité.
ANT - 2017-04-10
Mais de ces 10 millions, on peut retirer les 540 000 lignes qui sont en dégroupage partiel fin décembre 2016, situation dans laquelle un abonné ADSL a souhaité conserver en parallèle de sa box une ligne de téléphonie classique. Ils pourront sans difficulté abandonner le RTC pour la téléphonie sur IP.
Il y a aussi toutes les résidences secondaires pour lesquelles les abonnés, sans aucun doute équipés de téléphone mobile, verront peu d’inconvénient à ne plus pouvoir utiliser leur vieux poste téléphonique à cadran pendant leurs séjours. Quant aux télé-alarmes dans ces résidences, elles fonctionnent déjà souvent avec un abonnement mobile 2G. Sur le territoire visé par l’expérimentation, certaines communes présentent un taux de résidences secondaires particulièrement élevé (58% à Benodet), comme le montre la carte ci-contre, ce qui réduit d’autant le nombre de foyers non encore équipés en ADSL qui devront basculer vers la téléphonie sur IP.
Il reste un nombre inconnu de personnes, souvent âgées, que surfer sur l’internet n’a pas intéressées et qui ont conservé un téléphone classique. La tâche consistant à les accompagner dans la migration du RTC vers la téléphonie sur IP incombera aux associations et aux Conseils départementaux, qui sont chargés des missions de solidarité.
ANT - 2017-04-10
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