
Cette baisse s’est accélérée au cours de l’été sur les secteurs ayant connu un déficit pluviométrique associé à une forte sollicitation. Les épisodes pluviométriques survenus en août n’ont impacté que certaines nappes réactives proches du littoral de la Manche. Ce constat est habituel à cette période de l’année : les pluies estivales arrivant à s’infiltrer dans les sols sont absorbées par la végétation et n’atteignent que rarement les nappes.
La situation des nappes est dégradée dans l’est, avec des niveaux très bas pour la nappe de la plaine alluviale d’Alsace, et s’améliore en allant vers le sud-ouest pour atteindre des niveaux modérément hauts à hauts sur les nappes de la façade atlantique et du littoral du Languedoc-Roussillon. Le bénéfice de la recharge abondante de l’hiver dernier se ressent toujours et la situation au mois d’août reste satisfaisante sur une grande partie ouest du territoire. La situation continue de se dégrader sur les nappes réactives du Bassin parisien, de Lorraine et du Massif Central, sensibles à l’absence de pluviométrie. Enfin, la situation est peu favorable dans les secteurs accusant des recharges déficitaires depuis plusieurs hivers : nappes de la plaine d’Alsace, des couloirs de la Saône et du Rhône et de l’est du Massif Central.
En septembre, les tendances des nappes inertielles devraient rester orientées à la baisse. Concernant les nappes réactives, les tendances et l’évolution des situations dépendront essentiellement des pluies efficaces locales et des demandes en eau.
BRGM - Note complète - 2020-09-11
La situation des nappes est dégradée dans l’est, avec des niveaux très bas pour la nappe de la plaine alluviale d’Alsace, et s’améliore en allant vers le sud-ouest pour atteindre des niveaux modérément hauts à hauts sur les nappes de la façade atlantique et du littoral du Languedoc-Roussillon. Le bénéfice de la recharge abondante de l’hiver dernier se ressent toujours et la situation au mois d’août reste satisfaisante sur une grande partie ouest du territoire. La situation continue de se dégrader sur les nappes réactives du Bassin parisien, de Lorraine et du Massif Central, sensibles à l’absence de pluviométrie. Enfin, la situation est peu favorable dans les secteurs accusant des recharges déficitaires depuis plusieurs hivers : nappes de la plaine d’Alsace, des couloirs de la Saône et du Rhône et de l’est du Massif Central.
En septembre, les tendances des nappes inertielles devraient rester orientées à la baisse. Concernant les nappes réactives, les tendances et l’évolution des situations dépendront essentiellement des pluies efficaces locales et des demandes en eau.
BRGM - Note complète - 2020-09-11
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