La France encourage les alliances entre l'administration et la société civile en misant sur les technologies numériques, dont les approches sont déjà mises en œuvre avec l'open data, pour bâtir un gouvernement ouvert. Cette volonté se traduit dans plusieurs engagements de son plan d'action national pour la période 2015-2017, notamment en matière de coproduction législative.
C'est un retour aux sources, dans la ville où l'impulsion a été donnée il y a plus de deux siècles. En décembre prochain, Paris accueillera le sommet mondial du Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO, en anglais Open Government Partnership), dont la France aura pris la présidence quelques semaines plus tôt.
Quatre principes déclinés dans des plans d'actions nationaux
Les 69 Etats membres du PGO adhèrent à quatre grands principes : la transparence de l'action publique, la participation citoyenne, l'intégrité de l'administration et l'utilisation des technologies numériques. Ils s'engagent, en outre, à les traduire dans des plans d'actions établis pour une durée de deux ans.
Les dosages entre ces principes et leurs traductions en termes d'engagements diffèrent significativement en fonction des cultures des pays, de leurs priorités et de leur niveau de maturité technologique. Le programme de la Côte d'Ivoire, qui vient de rejoindre le PGO, diffère de celui des Etats-Unis, du Brésil ou de la Norvège. "Avec son plan d'action 2015-2017, la France affirme sa volonté d’être à l’avant-garde en matière de gouvernement ouvert", déclare Laure de la Bretèche, secrétaire générale du SGMAP.
Le portail de la modernisation de l'action publique - 2016-04-19
C'est un retour aux sources, dans la ville où l'impulsion a été donnée il y a plus de deux siècles. En décembre prochain, Paris accueillera le sommet mondial du Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO, en anglais Open Government Partnership), dont la France aura pris la présidence quelques semaines plus tôt.
Quatre principes déclinés dans des plans d'actions nationaux
Les 69 Etats membres du PGO adhèrent à quatre grands principes : la transparence de l'action publique, la participation citoyenne, l'intégrité de l'administration et l'utilisation des technologies numériques. Ils s'engagent, en outre, à les traduire dans des plans d'actions établis pour une durée de deux ans.
Les dosages entre ces principes et leurs traductions en termes d'engagements diffèrent significativement en fonction des cultures des pays, de leurs priorités et de leur niveau de maturité technologique. Le programme de la Côte d'Ivoire, qui vient de rejoindre le PGO, diffère de celui des Etats-Unis, du Brésil ou de la Norvège. "Avec son plan d'action 2015-2017, la France affirme sa volonté d’être à l’avant-garde en matière de gouvernement ouvert", déclare Laure de la Bretèche, secrétaire générale du SGMAP.
Le portail de la modernisation de l'action publique - 2016-04-19
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