Trois facteurs expliquent, en particulier, cette tendance :
- d’une part, l’objectif de croissance des dépenses d’assurance maladie, voté chaque année par le Parlement, limite la hausse des prestations de santé ;
- de l’autre, la réforme des retraites de 2010 freine la croissance des pensions ;
- enfin, les revalorisations des prestations indexées sur les prix sont modérées en raison de la faible inflation.
Seules les prestations du risque pauvreté, portées par le revenu de solidarité active (RSA), font exception.
DREES - Études et statistiques - Juin 2016
- d’une part, l’objectif de croissance des dépenses d’assurance maladie, voté chaque année par le Parlement, limite la hausse des prestations de santé ;
- de l’autre, la réforme des retraites de 2010 freine la croissance des pensions ;
- enfin, les revalorisations des prestations indexées sur les prix sont modérées en raison de la faible inflation.
Seules les prestations du risque pauvreté, portées par le revenu de solidarité active (RSA), font exception.
DREES - Études et statistiques - Juin 2016
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