
Au 1ᵉʳ janvier 2016, 66 362 000 habitants vivent en France (hors Mayotte), soit une croissance de 0,4 % par an depuis 2011. L’accroissement démographique concerne toutes les régions, à l’exception de la Martinique, de la Guadeloupe et de la Bourgogne-Franche-Comté. Cependant, le dynamisme démographique s’affaiblit.
Les fortes hausses de population bénéficient surtout aux départements des métropoles régionales de la façade atlantique, d’Occitanie et d’Auvergne-Rhône-Alpes. À l’opposé, 24 départements, dont Paris, accusent une baisse. La hausse de population traduit le regain démographique des grands pôles urbains et le dynamisme de leur couronne.
La croissance de population ralentit dans quatorze régions
Au 1ᵉʳ janvier 2016, les 35 340 communes françaises (hors Mayotte) rassemblent 66 362 000 habitants. De 2011 à 2016, la population a augmenté de 0,4 % par an en moyenne. Elle est en hausse dans toutes les régions, sauf en Martinique et en Guadeloupe, qui affichent une baisse, et en Bourgogne-Franche-Comté, où elle est stable. En France métropolitaine, sous l’effet des migrations avec les autres régions et l’étranger, les écarts de croissance sont importants entre les régions les plus dynamiques - Corse (+ 1,0 % par an), Occitanie (+ 0,8 %), Pays de la Loire et Auvergne-Rhône-Alpes (+ 0,7 % par an) - et les régions où la croissance démographique, uniquement portée par les excédents naturels, ne dépasse pas 0,2 % (Normandie, Grand Est, Centre-Val de Loire et Hauts-de-France).
En France, le dynamisme démographique s’affaiblit légèrement. Entre 2011 et 2016, la population progresse en moyenne de 286 000 personnes par an, contre 349 000 de 2006 à 2011 (+ 0,5 %). Sur la période récente, seules trois régions arrivent à maintenir leur rythme de croissance : Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Dans toutes les autres, il se détériore, notamment en Guadeloupe (- 0,7 point), à La Réunion (- 0,6 point) ainsi qu’en Martinique (- 0,5 point).
Au sommaire
La proximité d’une grande métropole favorise la croissance de population départementale
Paris fait partie des 24 départements qui perdent de la population
La périurbanisation se poursuit mais à un rythme moins soutenu
Petites et moyennes aires, campagnes isolées restent à l’écart de la croissance
INSEE - FOCUS No 138 complet - 2018-12-27
Les fortes hausses de population bénéficient surtout aux départements des métropoles régionales de la façade atlantique, d’Occitanie et d’Auvergne-Rhône-Alpes. À l’opposé, 24 départements, dont Paris, accusent une baisse. La hausse de population traduit le regain démographique des grands pôles urbains et le dynamisme de leur couronne.
La croissance de population ralentit dans quatorze régions
Au 1ᵉʳ janvier 2016, les 35 340 communes françaises (hors Mayotte) rassemblent 66 362 000 habitants. De 2011 à 2016, la population a augmenté de 0,4 % par an en moyenne. Elle est en hausse dans toutes les régions, sauf en Martinique et en Guadeloupe, qui affichent une baisse, et en Bourgogne-Franche-Comté, où elle est stable. En France métropolitaine, sous l’effet des migrations avec les autres régions et l’étranger, les écarts de croissance sont importants entre les régions les plus dynamiques - Corse (+ 1,0 % par an), Occitanie (+ 0,8 %), Pays de la Loire et Auvergne-Rhône-Alpes (+ 0,7 % par an) - et les régions où la croissance démographique, uniquement portée par les excédents naturels, ne dépasse pas 0,2 % (Normandie, Grand Est, Centre-Val de Loire et Hauts-de-France).
En France, le dynamisme démographique s’affaiblit légèrement. Entre 2011 et 2016, la population progresse en moyenne de 286 000 personnes par an, contre 349 000 de 2006 à 2011 (+ 0,5 %). Sur la période récente, seules trois régions arrivent à maintenir leur rythme de croissance : Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Dans toutes les autres, il se détériore, notamment en Guadeloupe (- 0,7 point), à La Réunion (- 0,6 point) ainsi qu’en Martinique (- 0,5 point).
Au sommaire
La proximité d’une grande métropole favorise la croissance de population départementale
Paris fait partie des 24 départements qui perdent de la population
La périurbanisation se poursuit mais à un rythme moins soutenu
Petites et moyennes aires, campagnes isolées restent à l’écart de la croissance
INSEE - FOCUS No 138 complet - 2018-12-27
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