
Quand Google rate l’installation de sa smart city idéale à Toronto (Canada), est-ce que cet échec est porteur d’enseignements pour les territoires intelligents en France ? Oui, a répondu Jaques Priol, président du cabinet Civiteo et de l’observatoire Data Publica, en ouverture de l'après-midi dédiée à la transformation numérique, lors du colloque TRIP automne 2020 de l'Avicca (cf. les actes, ci-dessous).
Les principaux enjeux sont les mêmes d’un côté et de l’autre de l’Atlantique :
- juridiques (RGPD),
- éthiques (sobriété numérique),
- économiques (propriété vs commercialisation des data),
- techniques (hébergement, sécurité),
- managériaux (gouvernance),
- environnementaux (centres de données, smart grid),
- démocratiques (opendata, transparence des algorithmes, tiers de confiance) et
- politiques (souveraineté).
Pour y répondre, plusieurs collectivités gauloises se sont engagées dans la mise en œuvre de stratégies et de chartes des données publiques, de Nantes à Grenoble comme de Dijon à la Loire Atlantique.
"Aujourd’hui, il y a une confiance a priori qui existe envers les acteurs publics. Je le dis, votre public étant territorial : plus on est proche et plus cette confiance existe. C’est quelque chose de très important qu’il ne faut pas trahir, qu’il faut entretenir et faire vivre", a conclu l'auteur de "Ne laissez pas Google gérer nos villes !".
TRIP automne 2020
Source >> AVICCA
Les principaux enjeux sont les mêmes d’un côté et de l’autre de l’Atlantique :
- juridiques (RGPD),
- éthiques (sobriété numérique),
- économiques (propriété vs commercialisation des data),
- techniques (hébergement, sécurité),
- managériaux (gouvernance),
- environnementaux (centres de données, smart grid),
- démocratiques (opendata, transparence des algorithmes, tiers de confiance) et
- politiques (souveraineté).
Pour y répondre, plusieurs collectivités gauloises se sont engagées dans la mise en œuvre de stratégies et de chartes des données publiques, de Nantes à Grenoble comme de Dijon à la Loire Atlantique.
"Aujourd’hui, il y a une confiance a priori qui existe envers les acteurs publics. Je le dis, votre public étant territorial : plus on est proche et plus cette confiance existe. C’est quelque chose de très important qu’il ne faut pas trahir, qu’il faut entretenir et faire vivre", a conclu l'auteur de "Ne laissez pas Google gérer nos villes !".
TRIP automne 2020
Source >> AVICCA
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