Depuis 2012, l’établissement a ainsi formés plus de 6 000 agents territoriaux aux techniques alternatives à l’utilisation des produits phytosanitaires et aux plans de gestion écologique des espaces publics. En complément, de nombreux évènementiels régionaux ont été programmés par le CNFPT, en lien avec ses partenaires (AITF , Hortis, AVPU , Fredon, Capitale Biodiversité, etc.), pour sensibiliser les agents à ces nouvelles problématiques. En 2016, il a organisé environ 370 sessions de formation dans les territoires pour accompagner ces personnels : agents de propreté, espaces verts, voirie, polyvalent.
Le CNFPT est aussi activement engagé dans l’animation d’un réseau national de partenaires publics, de réseaux professionnels et d’associations. Ces réseaux permettent de mutualiser la veille, de mettre à disposition des ressources méthodologiques et pédagogiques et de favoriser l’émergence de coopérations. En 2015, en partenariat avec 30 partenaires, le CNFPT a publié et mis à disposition sur son portail Internet le Répertoire des partenaires zéropesticide des collectivités qui recense l’ensemble des acteurs, ressources et guides techniques utiles aux collectivités territoriales qui s’engagent dans le développement d’alternatives pour l’entretien des espaces publics.
Aujourd’hui, plus de 4160 communes sont déjà engagées dans des chartes locales à objectif "zéro pesticide". Près de 200 communes ont obtenu le label national "Terre saine, commune sans pesticides", grâce à la suppression totale de l’usage des produits phytosanitaires de leurs espaces. Ces démarches contribuent à la maîtrise des dépenses de fonctionnement des collectivités, à la protection de la santé des agents territoriaux et des citoyens, à la préservation de la biodiversité et à la diminution de la vulnérabilité des territoires au changement climatique.
Retrouvez l’offre nationale dédiée aux cadres et agents de terrain qui travaillent dans les espaces publics concernés sur le portail Internet du CNFPT et les vidéos Espaces publics zéro-pesticide sur l’espace vidéo du CNFPT .
Communiqué >> CNFPT - 2017-01-18
Le CNFPT est aussi activement engagé dans l’animation d’un réseau national de partenaires publics, de réseaux professionnels et d’associations. Ces réseaux permettent de mutualiser la veille, de mettre à disposition des ressources méthodologiques et pédagogiques et de favoriser l’émergence de coopérations. En 2015, en partenariat avec 30 partenaires, le CNFPT a publié et mis à disposition sur son portail Internet le Répertoire des partenaires zéropesticide des collectivités qui recense l’ensemble des acteurs, ressources et guides techniques utiles aux collectivités territoriales qui s’engagent dans le développement d’alternatives pour l’entretien des espaces publics.
Aujourd’hui, plus de 4160 communes sont déjà engagées dans des chartes locales à objectif "zéro pesticide". Près de 200 communes ont obtenu le label national "Terre saine, commune sans pesticides", grâce à la suppression totale de l’usage des produits phytosanitaires de leurs espaces. Ces démarches contribuent à la maîtrise des dépenses de fonctionnement des collectivités, à la protection de la santé des agents territoriaux et des citoyens, à la préservation de la biodiversité et à la diminution de la vulnérabilité des territoires au changement climatique.
Retrouvez l’offre nationale dédiée aux cadres et agents de terrain qui travaillent dans les espaces publics concernés sur le portail Internet du CNFPT et les vidéos Espaces publics zéro-pesticide sur l’espace vidéo du CNFPT .
Communiqué >> CNFPT - 2017-01-18
Dans la même rubrique
-
Actu - Espaces verts - Ambroisie - Les collectivités doivent organiser la lutte
-
Doc - Espaces verts - Un accès inégal aux espaces verts dans les grands centres urbains
-
Actu - Espaces verts - Première sélection du programme des Rendez-vous aux jardins, sur le thème « Jardins de pierres, pierres de jardins »
-
Actu - Espaces verts - 22e édition des Rendez-vous aux jardins : Jardins de pierres - pierres de jardins
-
Actu - Espaces verts - Les arbres en ville : pourquoi il n’y a pas que le nombre qui compte